Blue Flower

En 2060, la part des personnes de plus de 80 ans sera multipliée par 2,6, soit 8,5 millions de personnes sur 76 millions de la population française. Aujourd'hui au nombre de 5%, le nombre d'handicapés représentera 11% en 2060, selon la Cdaph (Commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées).

D'après un rapport de la DREES, datant de 2018, le nombre de places en établissements pour les personnes handicapées s'élève à 494 354, dont seulement 335 453 pour les adultes. Pour pallier au manque de places disponibles, pensez à aménager votre lieu de vie et à demander un accompagnement à domicile adapté pour vous, ou les personnes âgées de votre famille. Par où commencer ? À qui s'adresser ? Voici tout ce que vous devez savoir sur le maintien à domicile des personnes handicapées.

Boisson naturelle à base d’eau chaude et de végétaux, les tisanes et les thés existent depuis l’an 2737 avant J-C : l’empereur chinois Chen Nung fit tremper pour la première fois une feuille de thé dans de l’eau chaude, créant ainsi ce breuvage aujourd’hui plébiscité dans le monde entier. 62% des français boivent des thés et infusions pour plus de bien être au quotidien : principalement pour maigrir, mieux dormir, et améliorer la digestion. Alors tisane ou thé quelle est la différence ? Quel thé choisir ? Nous vous expliquons les qualités curatives des thés et les bienfaits des tisanes.

Phytothérapie accessible au quotidien

Les plantes étaient déjà utilisées dans l’Antiquité pour soigner, sous forme de tisanes ou de cataplasme. Cet art s’est transformé en science de l’herboristerie au Moyen-Âge : l’usage des plantes à des fins thérapeutiques est appelée médecine des simples  et devient plus élaborée. Une tisane de qualité se reconnaît à l’arôme qui s’en dégage : ce sont les principes volatils (et en particulier les huiles essentielles) que vous sentez en ouvrant le paquet, ou en les froissant dans vos mains. De plus, une tisane de qualité comme dans la collection de Nioome sera composée des racines, tiges et des graines, qui conservent mieux leurs composés actifs que les feuilles et les fleurs.

De plus, ne soyez pas étonné de recevoir votre tisane séchée : les cellules de la plante maintiennent leur intégrité, même sèche. Les principes actifs sont préservés ! La tisane fonctionne sur un principe très simple : extraire les composés actifs de certaines plantes sélectionnées dans de l’eau chaude, pour que les qualités curatives de la plante se transmettent dans l’eau. Les différentes méthodes de préparation sont la macération, la décoction et l’infusion.

Mais qu’en est-il des soi-disant vertus curatives des plantes ? Les effets prouvés des tisanes sur la santé varient d’une plante à l’autre. L’une des plus célèbre à l’efficacité évaluée et validée est la fameuse tisane de queues de cerise. Les tisanes de queues de cerise auraient un pour antioxydant plus fort que la cerise elle même. L’effet de cette tisane en matière de prévention du cancer du colon a été relaté dans une étude scientifique datant d’avril 2015.

Mais ce sont les thés qui intéressent le plus la communauté scientifique actuellement pour leurs vertus intéressantes en matière de santé. Thé vert, thé noir… quels sont les thés à favoriser pour la santé ?

Quel thé choisir ?

Le thé vert est la star des magasins bios et des vendeurs de thé. Et pour cause, le thé vert est excellent pour la santé, ses effets antioxydants étant souvent mis en avant par les marques. Or, une étude menée en Chine datant de 2006 a prouvé que les buveuses de thé vert avaient un risque de cancer colorectal diminué de 57%.

En avril 2006, une autre étude au Japon  sur cette boisson a démontré que les personnes buvant le plus de thé vert réduisaient leur risque de diabète de type 2 de 42%. Le thé vert a donc encore de beaux jours devant lui, et vous devriez lui faire une place dès maintenant dans votre placard.

Le thé noir, quant à lui, obtenu par oxydation complète de la feuille du théier, est aussi excellent pour la santé. Une étude scientifique dont les résultats ont été publiés en janvier 2007, a démontré que consommer du thé noir diminuait les risques du cancer de l'ovaire.

Une autre étude plus récente menée en Chine sur plus de 350 000 hommes et femmes et publiée en 2017 a prouvé que la consommation du thé noir était associée à une réduction du risque de problèmes cardiaques. Plus fort en théine, consommez cependant le thé noir avec modération, car il impacte directement le système nerveux.

Vous l’aurez compris, le thé et les tisanes pourront aisément remplacer votre café matinal, tout en vous apportant vitalité et bien être. Mais le plus important est de boire la boisson au goût qui fasse le plus plaisir !

Le CBD est à la mode : or cette molécule est un des cannabinoïdes que l’on retrouve dans la plante du chanvre. Dépourvue de THC, qui est l’un des déclencheurs de la modification de l’état de conscience et de la perception, le CBD serait sans danger. Quels sont les effets réels sur notre système nerveux ? Cette molécule est-elle fiable ?

Calmer les douleurs avec le CBD

Le corps humain est équipé d’un système endocannabinoïde particulièrement sensible à cette molécule. Ce système disposant de capteurs situés partout dans l’organisme permet de réguler les fonctions clés de l’organisme : le sommeil et le stress notamment, mais également l’acidité du corps, notre appétit, la température corporelle. Utilisé par différentes peuplades depuis des millénaires, les produits du cannabis font l’objet d’études scientifiques depuis maintenant vingt ans. Le Comité des effets de la marijuana sur la santé (2017) par The National Academies Press, aux Etats Unis a publié une longue étude sur l’utilisation du cannabioïde (CBD) et autres produits du cannabis dans la gestion de la douleur. Les effets de l’huile de CBD sont bel et bien positifs pour mieux gérer les douleurs notamment chroniques. En outre, une étude est actuellement en cours à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal pour les douleurs aigües liées aux traumatismes crâniens pour déterminer si le CBD peut empêcher l’installation des douleurs chroniques après un accident ou trauma.

Améliorer le sommeil avec le CBD

La qualité de notre sommeil est primordiale pour notre santé. Saviez-vous qu’il existe plus de 80 troubles du sommeil comprenant l’apnée, le syndrome des jambes agitées et tous les troubles de l’insomnie ? Le CBD et insomnies, fait l’objet de nombreuses recherches, aux résultats probants. En effet, une étude au Canada a prouvé une amélioration de 50% de la qualité du sommeil chez un panel de militaires grâce au CBD. L’étude a ainsi montré une réduction significative des cauchemars dus au syndrome post traumatique grâce au composé cannabidiol par rapport à un placebo.

Mais ce n’est pas tout. Dans une autre étude publiée dans le Permanente Journal, réalisée sur un panel de 72 adultes souffrant de troubles du sommeil, des gélules de CBD étaient distribuées le soir. Dès le 1er mois, la qualité du sommeil s’est améliorée de 66%. Des conclusions encourageantes pour les insomniaques !

Le CBD aiderait à lutter contre le stress

En 2015, à la New York University, l'équipe de la psychiatre Esther Blessing a réalisé un travail gigantesque pour déterminer si oui ou non, le CBD aiderait à mieux gérer le stress. Après avoir compilé et analysé les données de 49 études sur le sujet, ils ont conclu que "dans l'ensemble, les données actuelles indiquent que le CBD a un potentiel considérable en tant que traitement pour les troubles anxieux.

Le CBD serait une molécule intéressante également pour des troubles plus avancés comme l’épilepsie. Les résultats déjà publiés sur l’impact du CBD sur le système nerveux sont suffisamment probants pour que le CBD soit d’ores et déjà utilisé dans deux médicaments commercialisés en Amérique du Nord : Sativex un médicament pour le traitement de la douleur neuropathique, les spasmes musculaires et symptômes liés à la sclérose en plaques, ainsi qu’Epidiolex, un médicament pour traiter les formes d’épilepsie chez les enfants.

Notez toutefois que le CBD est différent du cannabis thérapeutique, non encore légalisé en France. Le CBD quant à lui, est légal, à partir du moment où il provient du chanvre européen, et puisqu’il est dépourvu de son effet psychotrope car il ne contient pas de THC.

Sources

  • https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0306453014004132?via%3Dihub https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6326553/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26341731/

En analysant les données de 187 pays sur le mal de dos lors d'une étude en 2014, l'OMS a conclu que 80% de la population mondiale souffrirait à un moment de sa vie de ce problème de santé chronique. Le mal de dos, appelé aussi dorsalgie, lombalgie ou cervicalgie selon l'emplacement de la douleur, coûterait environ 661 millions d'euros à la Sécurité Sociale par an.

En 2017, une première campagne contre le mal de dos lancée par l'Assurance Maladie s'attaquait à ce « mal du siècle » désormais courant dans tous les métiers.

Comment prévenir le mal de dos ? Quelles sont les solutions ? L'ostéopathie est-elle est un traitement intéressant ? Que pense la médecine de ces professionnels de santé non reconnus par l'Ordre des médecins ?

Un ostéopathe, c'est quoi ?

L'ostéopathe est souvent le premier praticien que l'on appelle pour le mal de dos. Reconnue comme médecine non conventionnelle, l'ostéopathie est pourtant pratiquée par des médecins souhaitant élargir leur approche du corps et proposer un traitement plus global de leur patient. Devant la reconnaissance disparate de ce métier, mais aussi son succès indéniable, l'OMS a publié en 2010 un référentiel où l'ostéopathie est désormais définie :

"L'ostéopathie repose sur l'utilisation du contact manuel pour le diagnostic et le traitement (…) Elle met l'accent sur l'intégrité structurelle et fonctionnelle du corps et la tendance intrinsèque de l'organisme à s'auto-guérir. (…) Cette approche holistique de la prise en charge du patient est fondée sur l'idée que l'être humain constitue une unité fonctionnelle dynamique, dans laquelle toutes les parties sont reliées entre elles. »

L'ostéopathie est-elle efficace ? Le succès grandissant et indéniable auprès des patients est indéniable, mais les études restent encore peu nombreuses comparé aux études sur l'acupuncture par exemple. Pourquoi ? Caroline Barry est coauteure d'un rapport publié par l'INSERM en avril 2012 : « C'est une discipline très hétérogène : beaucoup d'écoles l'enseignent, mais avec des philosophies parfois très différentes. »

Le mieux est de trouver une liste de praticiens diplômés pour joindre un ostéopathe sur Lyon et réserver un rendez-vous directement en ligne, et prendre le temps de vous renseigner sur les différentes spécialités mentionnées sur leur profil avant de choisir votre ostéopathe. Un ostéopathe spécialisé dans l'ostéopathie crânienne pour nouveau-nés n'aura sans doute pas les compétences adéquates pour vous soulager de votre mal de dos.

Pour le mal de dos, comment travaille l'ostéopathe ?

Rappelez-vous, l'ostéopathie est une approche holistique, prenant en compte la globalité de l'être humain. C'est bien la différence entre un ostéopathe et d'autres praticiens comme le kinésithérapeute qui se focalise sur la zone douloureuse, ou le physiothérapeute, qui traite les traumas physiques à la suite de blessures grâce à des techniques manuelles.

L'ostéopathe, lui, a deux rôles face au corps humain : rétablir la motricité du corps après avoir identifié la cause de la douleur, pour la soulager et enfin informer le patient de sa biomécanique pour que ce dernier améliore de lui-même sa qualité de vie. Et pour le mal de dos, il s'agit bien la plupart du temps de mauvaises habitudes de postures ou d'effet du stress.

Lorsqu'il vous reçoit en consultation, l'ostéopathe va établir un portrait type du patient que vous êtes : pour comprendre d'où vient votre mal de dos, il va évaluer votre mode de vie, le niveau de votre douleur, les activités professionnelles et physiques que vous exercez, et les traumas ayant pu avoir lieu dans le passé. L'ostéopathe considère qu'une douleur au dos peut être l'incidence d'un déséquilibre sur d'autres composantes du corps humain comme les os, les tendons, les articulations et même les composantes du crâne.

L'ostéopathe pourra donc, après cet entretien, effectuer des palpations sur différentes parties du corps pour déterminer précisément les causes et les effets sur les autres organes, et la structure musculo-squelettique.

Il utilisera donc :

  • des techniques structurelles ou articulaires en mettant en tensions certaines zones pour améliorer leur fonctionnement. C'est là où l'on entend les craquements !
  • des techniques fonctionnelles pour travailler sur la couche myofasciale (les tissus) et l'ostéopathe pourrait vous faire effectuer certains mouvements pour relâcher les zones tendues
  • des techniques crâniennes, où l'ostéopathe pourra manipuler les os du crâne, pour soulager notamment les douleurs aux cervicales
  • Des techniques viscérales, impliquant la manipulation des viscères
  • Des techniques tissulaires permettant à l'ostéopathe de travailler sur les structures du corps : les fascias

Le rôle de l'ostéopathe sur le mal de dos : corriger et prévenir

Le mal de dos peut être divisé en deux types : des douleurs aiguës signes d'un lumbago, ou des douleurs plus chroniques. Dans les deux cas, le praticien pourra agir et corriger, même s'il est bien plus judicieux pour votre santé de ne pas attendre d'avoir mal, pour consulter un ostéopathe qui pourra vous aider à prévenir les troubles du dos.

Les déséquilibres touchant les vertèbres, les articulations ou les disques sont les causes majeures du mal du dos. Pour cela, l'ostéopathe peut corriger le déplacement des disques et des vertèbres. Il aide également, par ses manipulations, à détendre les muscles pour libérer la douleur et la contraction musculaire provoquées par le mal de dos.

N'ayant pas le pouvoir de prescrire des médicaments pour soulager la douleur, il est en revanche capable de conseiller sur la santé en général, car le mal de dos est, la plupart du temps, dû à notre mode de vie : la sédentarité et les mauvaises postures minent notre dos au quotidien.

Activité physique et hygiène posturale sont les deux domaines principaux qu'un ostéopathe conseille en priorité pour vous aider à améliorer votre biomécanique. Votre ostéopathe pourra donc vous donner des conseils sur la manière de soulever des objets en toute sécurité ou la bonne posture à adopter au bureau pour diminuer les tensions sur les muscles du dos et votre colonne vertébrale.

Le vieillissement, l'usure, et les longues périodes sans exercices accentuent les troubles du dos. Les muscles affaiblis ne soutiennent plus, les risques de caillots sanguins peuvent augmenter. Hélas, plus vous avez du mal à reprendre les activités normales, plus ce sera difficile. D'où l'intérêt de ne pas attendre d'avoir une crise de lombalgie pour consulter un ostéopathe, mais d'intégrer l'ostéopathie à votre routine de santé.

Enfin, l'ostéopathe peut offrir un suivi d'entretien du dos après une intervention chirurgicale, particulièrement grâce aux techniques douces et adaptées fonctionnelles et tissulaires.

Comme nous vous le disions plus haut, mieux vaut prévenir que guérir! Une séance chez l'ostéopathe une fois tous les deux mois est un bon rythme pour prévenir le mal de dos… et d'autres douleurs !



Le tabagisme est responsable de 75 000 décès en France chaque année. Les milliers de substances chimiques dégagées dans la fumée de cigarette dénombrent 69 ayant pour cause directe le cancer. Il n’est donc jamais trop tard pour arrêter de fumer, et il est nécessaire de rechercher toute l’aide possible dans cette démarche. Comment soutenir alors vos efforts pour arrêter de fumer ? Comment s’y retrouver parmi tous ces substitut nicotiniques et TSN conseillés par les médecins ? Ces thérapies de substitution nicotiniques sont-elles vraiment la panacée ? Une étude récente de l’organisation indépendante Cochrane vient de démontrer que la cigarette électronique est le meilleur outil de sevrage tabagique.

La cigarette électronique : comment ça fonctionne

Inventé par Honk Li, un pharmacien qui cherchait à arrêter de fumer,la cigarette électronique repose sur le même principe qu’une cigarette : elle délivre de la nicotine au cerveau habitué à cette substance.

L’arrêt du tabagisme en une seule fois est difficile, le cerveau et le corps étant alors en manque de cette fameuse nicotine. Or, la cigarette électronique contient un liquide qui permet de doser en petite quantité la nicotine (en réalité un pesticide), délivrée au cerveau, permettant de réduire les séquelles infligées par la combustion du tabac à l’organisme. La vapeur de la cigarette électronique ne contient pas en effet les produits chimiques nocifs contenus dans la fumée du tabac, tels que le monoxyde de carbone et le goudron. Voilà donc le premier avantage de la cigarette électronique. Mais il y en a d’autres.

La cigarette électronique : le meilleur allié pour arrêter de fumer ?

Une étude sur la cigarette électronique de l’organisation internationale indépendante Cochrane parue en Octobre 2020 a prouvé qu’elle était le meilleur outil de sevrage tabagique : 3 études portant sur 1498 personnes comparant l’usage des e-cigarettes à la nicotine et une thérapie de remplacement. 3 autres études ont comparé l’utilisation des e-cigarettes avec nicotine et sans nicotine sur 802 personnes. Le résultat a montré que davantage de personnes on pu arrêter de fumer pendant au moins six mois en utilisant des e-cigarettes à la nicotine. De plus, sur 100 personnes utilisant des e-cigarettes à la nicotine pour leur sevrage tabagique, 10 pourraient ont réussi à arrêter le tabac, contre seulement 6 personnes sur 100 qui utilisaient des substituts nicotiniques ou des e-cigarettes sans nicotine. Si vous recherchez à faire l'acquisition d'une e-cigarette, vous pouvez notamment vous tourner vers cigaretteelec.fr qui propose un grand nombre de modèles.

Si l’on y réfléchit la cigarette électronique présente des avantages par rapport à d’autres substituts nicotiniques :

Vapoter par exemple, présente l’avantage d’occuper les mains et la bouche, ce qui permet de garder l’illusion de fumer sans tabac. De plus, garder les mains et la bouche occupées permet d’éviter le grignotage.

Avec la cigarette électronique, pas de risque d’oubli du patch pendant la nuit menant à des cauchemars et des sommeils agités. Dernier avantage : les TSN et médicaments peuvent être pris uniquement pendant une durée limitée, ce qui favorise la rechute. La cigarette électronique, elle, permet de réduire l’apport en nicotine de manière plus progressive et donnera des meilleurs résultats sur le long terme.

Pour conclure sur l’arrêt du tabac grâce à l’e-cigarette

Quelque soit l’outil de sevrage tabagique que vous choisirez, la meilleure méthode pour arrêter de fumer repose surtout sur 3 éléments dépendant avant tout de vous : votre volonté d’arrêter de fumer, votre motivation (votre pourquoi) et votre préparation. Gardez à l’esprit à tout instant que l’arrêt du tabac vous permettra de retrouver une meilleure santé, un meilleur niveau d’énergie, et de protéger aussi la santé de vos proches.