
De plus en plus de femmes ont recours à la chirurgie esthétique pour diverses raisons. D'ailleurs, la chirurgie esthétique mammaire reste l'une des interventions chirurgicales les plus réalisées au monde. Selon l'ISAPS, environ 400 000 femmes auraient franchi le pas de la chirurgie esthétique mammaire. D'ailleurs, la demande reste élevée. Augmentation mammaire, réduction mammaire… quand considérer une opération de chirurgie esthétique mammaire ? Qu'en est-il des avantages et inconvénients de cette technique ? Comment se passe une opération de chirurgie esthétique des seins ? Les réponses dans cet article.
Une opération de chirurgie esthétique pour l'augmentation mammaire
Pour comprendre l'intérêt de la chirurgie esthétique, il convient tout d'abord de définir ce qu'est une augmentation mammaire. Il s'agit d'une intervention chirurgicale réalisée par un spécialiste de la chirurgie esthétique. L'augmentation mammaire, comme son nom le laisse paraître, consiste à augmenter le volume de vos seins ou à modifier la forme des seins pour harmoniser votre buste au reste de votre silhouette.Quelles sont les techniques d'augmentation mammaire en chirurgie esthétique ?
Cette intervention est surtout plébiscitée par les patientes souffrant d'une modification hormonale ou hypotrophie. Elle concerne également celles qui ont des seins qu'elles jugent trop petits, à la suite d'une grossesse ou d'un amaigrissement. Dans ces cas, l'augmentation mammaire corrige les ptôses mammaires.En plus d'augmenter le volume des seins hypotrophes, la chirurgie esthétique mammaire peut également remodeler la poitrine. Ainsi, le chirurgien utilise différentes techniques pour des résultats optimaux. Il s'agit notamment de :
- La pose d'implants mammaires qui consiste à implanter des prothèses mammaires en sérum ou en silicone
- Le lipofilling mammaire qui vise à injecter de la graisse issue d'une liposuccion de la patiente elle-même
- L'augmentation mammaire composite qui consiste à poser des prothèses mammaires en injectant des graisses autour des implants mammaires
Comment se déroule une opération d'augmentation mammaire ?
Le déroulement d'une opération de chirurgie esthétique mammaire varie selon le type de technique utilisée. Dans tous les cas, l'augmentation mammaire se déroule sous anesthésie générale. Aussi, dans certains cas, il peut s'agir d'une hospitalisation ambulatoire, ce qui signifie que vous pouvez rentrer chez vous le soir même de l'opération chirurgicale.La pose d'implant mammaire
La plupart des patientes et des chirurgiens optent pour la pose d'implants mammaires. Cette méthode très utilisée consiste tout simplement à introduire 2 prothèses soit en dessous, soit au-dessus de la glande mammaire.Lipofilling mammaire
Cette technique se fait en deux temps. En effet, elle comprend deux actes chirurgicaux différents : la liposuccion et l'injection de graisse.Quant à l'augmentation mammaire composite, elle comprend trois actes chirurgicaux :
- La liposuccion
- L'injection de graisses
- La pose d'implants
Qu'en est-il des risques et contre-indications d'une augmentation mammaire en chirurgie esthétique ?
Mis à part les dangers liés à l'anesthésie générale, l'augmentation mammaire comporte aussi quelques autres risques de complications. En effet, on observe parfois une coque fibreuse qui se forme autour de l'implant mammaire. Dans certains cas, la prothèse peut se rompre. Dans d'autres cas, des vergetures ou plis apparaissent au niveau du sein.Le lipofilling mammaire présente également des risques. On cite par exemple la nécrose des tissus. Afin de la limiter, le chirurgien évitera d'injecter trop de graisses dans vos seins. Dans tous les cas, la chirurgie esthétique d'augmentation mammaire reste déconseillée et contre-indiquée chez les personnes immunodépressives, les adolescentes et les femmes enceintes. Et ce, quelle que soit la technique opératoire de votre choix.
La chirurgie esthétique mammaire est également limitée par certains troubles psychologiques. Il s'agit notamment de la dépression ou des troubles du comportement alimentaire (anorexie, boulimie, etc.).
Une opération de chirurgie esthétique pour faire diminuer le volume des seins
La poitrine suscite souvent de nombreux complexes. En effet, là où certaines femmes souhaitent augmenter le volume de leurs seins, d'autres quant à elles, veulent au contraire le réduire.De nombreuses raisons telles que l'hypertrophie mammaire, les problèmes médicaux, le mal-être psychologique poussent les femmes à opter pour la chirurgie esthétique afin de réduire le volume de leurs seins. Mais qu'en est-il concrètement ?
La réduction mammaire pour remédier à l'hypertrophie mammaire
Des seins trop volumineux constituent souvent une gêne, voire un handicap dans le quotidien des femmes qui en souffrent. D'ailleurs, l'hypertrophie mammaire reste l'un des motifs de consultation les plus fréquents dans le cadre de la chirurgie esthétique.Chirurgie esthétique ou chirurgie réparatrice pour la réduction mammaire
Selon les cas, on parle de chirurgie esthétique ou de chirurgie réparatrice pour la plastie de réduction mammaire. En effet, l'hypertrophie mammaire est notamment à l'origine de douleurs dorsales intenses. Ainsi, la réduction mammaire via la chirurgie esthétique vise à :- réduire le volume des seins
- repositionner les seins
- redonner du galbe aux seins de la patiente
Comment se déroule une opération de réduction mammaire ?
La réduction mammaire se pratique par un chirurgien esthétique. L'intervention se fait obligatoirement sous anesthésie générale. Ainsi, vous devez donc programmer une consultation avec un anesthésiste au minimum 48 heures avant l'opération chirurgicale de réduction mammaire.Afin de déterminer si la plastie est réalisable ou non, le praticien doit effectuer un bilan clinique complet. Lorsque c'est le cas, le chirurgien esthétique mettra en pratique la technique opératoire la mieux adaptée à votre état. Ainsi, il procédera à une exérèse de tissus excédentaires. Ces derniers seront ensuite acheminés dans un laboratoire pour faire l'objet de plusieurs analyses.
Enfin, le chirurgien esthétique procédera au remodelage de vos glandes mammaires conservées pour créer un galbe bien plus esthétique. Lorsqu'il aura enlevé les excès de peau, il passera au redrapage cutané. Il s'agira de repositionner les aréoles et les mamelons, puis de refermer l'incision. Pour évacuer plus facilement les liquides, le praticien met en place un drain ainsi qu'un pansement compressif autour de la poitrine.
Le diabète est en passe de devenir le fléau de notre siècle, loin devant encore la COVID-19. Le diabète, et notamment le diabète de type 2 (aussi dit le diabète sucré), touche environ 3 millions de personnes en France. 3 millions de personnes aux prises avec des comorbidités parfois irréversibles qui leur gâchent définitivement la vie.
L’importance de l’alimentation pour la gestion du diabète
Dans le cas d’un diabète de type 2, il est fortement conseillé d’enclencher un rééquilibrage alimentaire pour mieux vivre avec le diabète ermettant ainsi de mieux gérer les apports de glycémie. Il s’avère qu’un rééquilibrage alimentaire peut également permettre de perdre du poids, de retrouver une meilleure forme et tout particulièrement lorsque l’on avait de (trop) mauvaises habitudes. En effet, la clé est là : trop souvent, les mauvaises habitudes sont dûes à un manque d’éducation nutritionnelle. Les patients sont les premières victimes de ce manque d’éducation car pour la plupart, ils ne savaient pas avant d’être diabétiques comment composer une assiette « dite équilibrée » ou tout simplement évaluer les bonnes quantités pour obtenir les meilleurs apports nutritionnels. Ainsi, dans un monde prônant la facilité avec l’achat de plats préparés trop souvent trop gras ou trop sucrés, offrant une débauche de produits dans les rayons de supermarchés et faisant l’apologie du « se faire plaisir » en permanence, la lutte semble bien difficile pour le patient diabétique. Fort heureusement, il existe des solutions, dont notamment l’accompagnement nutritionnel et diététique.L’importance de l’accompagnement nutritionnel pour le diabète
L’accompagnement nutritionnel a largement fait ses preuves en matière de performances dans la lutte contre le diabète, même si son efficacité n’a pas été suffisamment prouvée pour permettre une prise en charge par la sécurité sociale. Pourtant, dans le cadre du programme ETAPES, il a bien été prévu de mettre en place une partie d’éducation thérapeutique dédiée au patient afin de l’accompagner tout au long du programme afin de maximiser ses chances d’obtenir des résultats probants à l’issue du programme. Preuve donc, si il en fallait, de l’impérieuse nécessité de mettre en place un accompagnement humain axé sur l’éducation. On peut se demander quelle est la logique globale de raisonnement de certains. Pourquoi refuser d’une part ce qui est accordé d’autre part ? Un certain nombre de professionnels de santé y voient une opportunité pour au contraire pouvoir mettre en avant la nécessité de mettre en place un parcours d’accompagnement totalement dédié à la nutrition, et notamment dans le cadre du diabète. Peut-on réellement espérer, après tant d’années qu’il y ait une prise de conscience sur la nécessité des programmes diététiques et leur prise en charge ? La levée de la contrainte financière permettrait ainsi à de nombreux patients de ne plus avoir à débourser des sommes qui peuvent s’avérer très importantes.En effet, même si le prix d’une consultation diététique coût facialement aussi cher qu’une consultation avec un médecin, elle n’est pour autant pas remboursée et va surtout nécessiter une prise en charge sur plusieurs mois… A 30€ la consultation pendant 6 mois, on comprend mieux pourquoi certains cèdent aux sirènes du marketing et se tournent vers des solutions commerciales qui leur proposent de perdre des dizaines de kg et qui ne sont pas pilotées par de professionnels de santé. La seule garantie : se faire délester de ses économies et de retrouver du poids derrière. Assurément.
Car l'article R4127-19 du Code de la santé publique précise que « la médecine ne doit pas être pratiquée comme un commerce » et que « sont interdits tous procédés directs ou indirects de publicité ». Or, que dire devant les professions non réglementées du domaine paramédical qui peuvent elles, faire de la publicité en toute liberté ? Qui dit publicité dit libre concurrence, totalement contraire aux règles déontologiques de la majorité des ordres professionnels.
Alors que faire ? Il est interdit de faire la publicité pour les professions de santé certes, mais depuis l'arrêt du Conseil d'État du 6 novembre 2019, vous avez le droit de communiquer à condition que cette communication soit loyale, honnête, et objective.
Alors faut-il créer un site web ? Que poster sur les réseaux sociaux ? Peut-on faire de la publicité Facebook quand on est médecin ? Nous vous disons tout dans cet article pour aider votre activité de santé à se faire connaître.
Voici comment bien communiquer sur son activité de professionnel de la santé en 7 points.
Ne pas pratiquer les ressorts commerciaux
Les ressorts commerciaux sont à proscrire : les formules du type « Un acte acheté, un acte offert » sont très courantes en Amérique du Nord où la santé est complètement libéralisée. Or, ces pratiques commerciales sont formellement interdites en France. De même, les coupons de réduction, ou soldes de fin d'année du type « un bilan de votre masse graisseuse après Noël à prix réduit » sont à éviter.Attention également lorsque vous participez à des actions en lien avec des sociétés privées qui vous reversent des honoraires : laboratoires, maisons d'édition ou magazines si vous publiez des articles, etc.
Site internet et visibilité en ligne alors ?
Et la publicité Facebook et sur les réseaux sociaux alors ? Est-elle possible ? Oui ! À condition que cette publicité soit pensée et préparée : par exemple, dans les solutions digitales de 3w Conseil à l'attention du personnel médical. Vous pouvez trouver la mention des bannières publicitaires qui doivent suivre les conditions du réseau social utilisé. Si vous respectez les règles, cet élément de votre stratégie marketing pour votre activité va vous amener des patients déjà ciblés, de votre région, et cherchant précisément vos services, votre expertise santé… et en respectant les directives du Conseil d'État.De même, posséder un site web est autorisé, à condition d'y mettre les bonnes informations.
Communiquer de manière loyale et honnête
Le Conseil d'État a émis 15 recommandations en matière de communication qui vous permettent de gérer votre communication sans faire d'impairs et de communiquer sur vos compétences en tant que professionnel de santé :- Votre parcours
- Des informations sur votre formation professionnelle continue, avec spécialités et sur-spécialités
- Les données économiques (comme les tarifs d'honoraires, les modes de paiement acceptés...)
- études
- interviews de pontes et références dans votre domaine
- découvertes majeures et avancées scientifiques impactant la vie de vos patients.
Attention également à ne faire mention que des diplômes reconnus par l'Ordre des Médecins : la valeur scientifique de certains de diplômes universitaires est incontestable, mais non reconnue par l'Ordre. Il vous faudra réfléchir à un vocabulaire ciblé pour évoquer vos compétences sans mentionner ces diplômes.
Pour résumer ce point, la communication est un art où se conjuguent discernement et modération : privilégiez donc toujours l'information juste, valable et de valeur plutôt que le sensationnel !
Manier les réseaux sociaux avec déontologie
Les réseaux sociaux sont un support intéressant pour les professionnels de santé, car ils vont donner un visage humain à votre communication. C'est l'occasion d'engager un dialogue avec vos patients sur leurs préoccupations quotidiennes.Pour autant, certaines pratiques sont à réfléchir avant :
- Le secret médical est applicable, même avec le consentement du patient !
- Le réseau social n'est pas le lieu d'une consultation en ligne : préférez la messagerie privée pour inviter vos patients à venir vous consulter de visu.
- Séparez bien votre vie privée de votre communication sur les réseaux sociaux : ne publiez rien qui pourrait entacher la considération de votre profession. C'est en effet, déontologiquement passible de sanctions. Poster des photos du dernier safari où vous avez tué une girafe ne vous apportera que des ennuis.
Jouer… avec les algorithmes d'internet !
Facebook, Instagram, YouTube raffolent des vidéos : plus vous allez créer de vidéos, plus vous remonterez dans le fil d'actualité. En effet, la vidéo marketing a connu une expansion prodigieuse ces dix dernières années. C'est un média aujourd'hui plutôt facile à créer (un smartphone suffit) et permet un excellent retour sur investissement, et pas seulement sur les réseaux sociaux.Sachez que lorsque quelqu'un va taper votre nom sur internet, il aura le réflexe d'aller cliquer sur une vidéo : eh oui, regarder une vidéo demande moins d'efforts que lire un texte ! 20% des visiteurs de votre site liront le contenu texte sur votre page, quand 80% des visiteurs regarderont une vidéo.
Créer un tunnel de vente
Un tunnel de vente ? Kézako ? Il s'agit d'une stratégie marketing sur le web pour capter votre cible, la diriger vers votre site web, pour l'amener à une prise de rendez-vous. Cette technique est très peu utilisée par les professionnels de santé, et pourtant c'est un excellent outil pour se démarquer, mais aussi simplifier la prise de rendez-vous. Pour ce faire, vous aurez besoin de développer votre image de marque sur le web, votre visibilité à travers la création d'un site, mais aussi un travail de fond de référencement : ce sont les fameux mots-clés que vous devez insérer dans votre site qui vont améliorer votre positionnement sur le web. Il faudra aussi prévoir un outil de prise de rendez-vous intégré.Enfin, surtout, à vouloir chercher à parler à tout le monde, on ne parle à personne : vous devez affiner votre offre en gardant à l'esprit où vous êtes situé, ainsi que les personnes que vous avez déjà en tant que patients. Cela vous aidera à mieux calibrer vos publicités Facebook !
Soigner son e-reputation en permanence
Si tripadvisor est devenu la référence pour noter les restaurants et hôtels, les professionnels de santé ne sont pas encore habitués à vérifier leur réputation sur le web. Et c'est bien dommage : « googleliser » quelqu'un est devenu la norme, un réflexe pour les patients. Imaginez l'impact que peut avoir une série d'avis négatifs sur votre page Google.Vérifiez donc régulièrement pour interagir, tempérer certains avis parfois acerbes, pas toujours objectifs :
- Yelp
- Votre page Google
- Justacote
- Notetondoc
- Pagesjaunes
- Doctoralia
Certes, les paroles s'envolent et les écrits restent : mais les nouveaux écrits viennent supplanter les anciens ! Car chaque nuit les robots de Google font une mise à jour et viennent scanner les pages web. Pour laisser tomber dans les oubliettes de Google les avis négatifs, demandez à vos patients de déposer un avis positif sur votre page Google, ou tout autre site qu'ils ont consulté. Cette solution simple ne vous coûtera rien.
Se faire accompagner par un professionnel
Le médecin accompagne un patient dans son parcours santé, le marketeur accompagne ceux qui veulent communiquer sur leur activité pour un gain de temps et souvent d'argent. Vous l'avez compris, communiquer sur internet est un métier en soi.Comment communiquer de manière juste et efficace ? La publicité sur YouTube est-elle permise ? Quel logiciel utiliser pour diffuser les contenus vidéos sur toutes les plateformes ?
A chaque étape de la construction de votre communication sur le web, vous aurez des questions.
Pour conclure, pour anticiper les bad buzz, éviter tout faux pas, (et tout procès !), et élaborer une stratégie efficace, prévoyez une séance audit de votre situation chez un professionnel du marketing.
Et surtout, pensez-y à deux fois avant de faire un post de vos vacances sur votre page officielle Facebook !
Monter dans un avion est devenu quelque chose de très naturel pour un grand nombre de personnes. Même si certains d'entre nous peuvent développer une forme d'anxiété tout à fait naturelle, et d'autres ont développé une véritable phobie qui, avec le temps, peut devenir totalement handicapante et conduire à des comportements parfois extrêmes.
La phobie de l'avion n'est, dans la plupart des cas, pas lié à une peur de la prime enfance, mais quelque chose qui s'est souvent construit petit à petit. Certains évoquent avoir développé une phobie après plusieurs voyages pendant lesquels il n'y avait pas eu de problèmes particuliers. Juste une petite succession de petits détails auxquels ils ont commencé à faire attention et sur lesquels leur attention s'est fixée.
C'est cette attention extrême qui conduit ensuite à des comportements phobiques au point de ne plus vouloir prendre l'avion sans avoir pris un médicament pour se calmer, ou en arriver au point de préférer d'autres modes de transports, voire de se refuser de voyager.
Il existe différentes méthodes pour se débarrasser de cette phobie de l'avion :
- La méthode cartésienne et les programmes proposés par les compagnies aériennes mixant pédagogie, visites physiques et discussions avec des professionnels
- L'hypnose (il existe plusieurs sortes d'hypnose, mais nous parlerons plutôt de l'approche Ericksonienne ici)
L'hypnose n'est pas une solution miracle
Il faut savoir que même une séance avec l'hypnothérapeute Hypnose Expert vous ne serez peut-être pas débarrassé de votre phobie en un claquement de doigt. Il vous faudra réaliser un véritable chemin intellectuel et psychologique qui vous amènera à réfléchir non pas à votre phobie, mais aux différents éléments, qui petit à petit, ont construit votre phobie.En règle générale, avec la pratique Ericksonienne, vous ne parlerez pas d'hypnose avant plusieurs sessions. Le thérapeute cherche en effet à d'abord vous amener à verbaliser et à mettre des mots autour de vos phobies et à travailler sur des notions spécifiques. Certains vont par exemple devoir travailler le lâcher-prise : en effet, avoir peur de l'avion peut aussi être tout simplement une incapacité à faire confiance.
L'hypnose en soutien d'une démarche personnelle
Dans tous les cas, il est nécessaire d'avoir une démarche volontaire, personnelle et active car elle est la clé du succès. Comme expliqué plus haut, vous allez devoir travailler sur vous et partir à la recherche des causes de votre phobie qui ne sont pas toujours liées. Après plusieurs séances vous pourrez passer à l'hypnose à proprement parler.Une séance d'hypnose est très simple. Votre hypnothérapeute vous guide et vous amène dans un état de semi-conscience grâce à notamment un travail sur votre respiration et la visualisation d'images que votre hypnothérapeute vous suggère. Vous restez éveillé tout au long de la séance et vous vous souviendrez de tout à l'issue.
Comme vous vous en doutez, ce travail personnel n'est pas à réaliser avec le 1er venu. Prenez le temps de contrôler les références, vérifier les diplômes et la formation. En cas de doute, contactez le centre de formation pour vérifier. Vous devez être en mesure d'avoir confiance dans votre interlocuteur pour obtenir le plein succès.
Et vous, comment avez vous vécu vos séances d'hypnose?
L'hallux valgus, ou "oignon" est la pathologie la plus fréquente du pied, en dehors des maladies de peau type eczéma. 1 personne sur 10 en France est touchée par l'hallux valgus, soit un peu plus de 6 millions de personnes. Inesthétiques, gênants et douloureux au quotidien, quelles sont les causes du l'hallux valgus ? Comment soulager au quotidien l'hallux valgus ? LQDP vous explique tout !
L'hallux valgus, qu'est ce que c'est ?
L'hallux valgus se décèle facilement par la déviation du gros orteil sur le côté interne du pied. Cette déviation de la base du gros orteil vers l'extérieur peut avoir des conséquences plus ou moins graves et douloureuses.Pourquoi j'ai des oignons aux pieds ?
L'apparition d'un hallux valgus est souvent liée à des facteurs génétiques. Ainsi, les personnes les plus exposées à l'hallux valgus sont :- les femmes : principalement après la ménopause, vers 40 ans, même s'il peut apparaître avant,
- les personnes, dont les parents ont un hallux valgus,
- les personnes portant des talons au quotidien,
- les personnes en station debout ayant des troubles statiques et posturaux à la formation de l'hallux valgus.
Quelles solutions pour soulager l'hallux valgus ?
La chirurgie pouvant être très lourde et douloureuse, d'autres solutions existent au quotidien pour soulager les oignons de pieds. Et non une simple visite chez le podologue ne suffira pas. Vous devriez songer à :- porter une attelle adaptée,
- porter des chaussures adaptées si possible validées par des podo-orthésistes,
- pratiquer des exercices de kinésithérapie éventuellement pour soulager le gros orteil connecté à la chaîne musculaire postérieure,
- porter des semelles orthopédiques adaptées pour corriger la posture.
La façon la plus simple et confortable de soulager l'hallux valgus est de choisir des modèles de chaussures pour l'hallux valgus adaptées à cette pathologie du pied.
Ces chaussures devront être :
- dans une matière souple pour diminuer les frottements et douleurs contre la bosse du gros orteil,
- conçues ou validées par des spécialistes du pied,
- permettre le remplacement de la semelle par des semelles orthopédiques.
Les pathologies fréquentes du pied
Le pied est la partie du corps qui soutient tout notre poids, joue un rôle déterminant dans notre marche et notre posture. Mais cette partie peut aussi se dégrader à cause d'autres facteurs : arthrose, blessure, cartilage abîmé... Quels sont les autres symptômes des maladies du pied ?Quelles sont les autres déformations du pied ?
Pas sûr d'avoir un oignon ? Les douleurs et inflammations au niveau des pieds sont nombreuses en dehors de l'hallux valgus :- l'hallux rigidus est une perte de la mobilité de l'articulation du gros orteil liée à un cartilage abîmé ou l'arthrose,
- le pied plat est l'absence d'arche plantaire causée par l'affaissement de la voûte plantaire,
- pied bot,
- orteils en griffe,
- quintus varus.
À quoi est-ce lié ?
Les causes des pathologies du pied sont multiples :- les blessures et lésions provoquées par l'environnement et le mode de vie,
- la génétique,
- l'arthrose,
- mais aussi le port de chaussures de mauvaise qualité.
Pour anticiper les pathologies du pied, prévoyez une séance bilan chez votre kinésithérapeute-orthopédiste pour apprendre à soulager votre pied.
Et surtout, pensez-y à deux fois avant de faire du shopping en matière de chaussures !
Page 7 sur 214
