
Tout savoir sur l'abricot : ses vertus, ses bienfaits, ses propriétés et ses valeurs nutritionnelles.
Description de l’abricot
L’abricot est le fruit issu de l’abricotier, arbre de la famille des Rosacées. C’est un petit fruit charnu originaire de Chine. Il est de forme arrondi et orange et possède un noyau au centre de sa chair. Celle-ci est sucrée, peu juteuse et ferme.
L’abricot se consomme généralement avec la peau, en dessert sous forme de fruit frais, en compote ou bien en confiture par exemple. Il se consomme aussi séché (pour des collations, le petit déjeuner ou pour le sportif) ou en jus. En subissant une maturation, il peut servir à la fabrication de liqueur.
Depuis 4000 ans, l'abricotier est cultivé au Nord-Est de la Chine. Puis, il s’est répandu en Grèce et en Italie il y a 2000 ans. Il arrive en France beaucoup plus tard. Actuellement, l’abricot est principalement cultivé au niveau du bassin méditerranéen, et en Amérique.
Variétés d’abricot
La France recense de multiples variétés d’abricot. Elles sont liées à une région de production en particulier. Elles se regroupent en trois familles distinctes : les variétés précoces, de saison et tardives.
Variété précoce :
– Orangered : très gros fruit, de couleur orange cuivré à rouge vif. Sa saison débute mi-juin, il vient du Languedoc-Roussillon.
Variétés de saison :
– Lambertin : il est de taille moyenne et de couleur orange foncé. Il est produit dans le Languedoc-Roussillon à partir de fin juin.
– Rouge de Roussillon : c’est un fruit moyen et orangé. Ferme et très parfumé, il vient des Pyrénées Orientales.
Variétés tardives :
– Orangé de Provence, polonais : très gros fruit de couleur orangée panachée de rouge. Sa chair est ferme mais bonne. Il vient de la Drôme et du Vaucluse et est produit au mois de juillet.
– Bergeron : c’est un fruit très gros dont une face est rouge, l'autre orange. Sa chair est ferme, peu juteuse. Il est produit dans la vallée du Rhône de la mi-juillet à la mi-août.
Valeurs nutritionnelles pour 100 g d’abricot frais
Macronutriments
Calories : 208 KJ / 49,1 kcal Eau : 86,1 g Protéines : 0,9 g Lipides : 0,207 g Glucides : 9,01 g dont sucres : 8,02 mg Fibres : 1,7 g
Minéraux
Calcium : 15,6 mg Magnésium : 8,67 mg Phosphore : 16,6 mg Potassium : 237 mg Fer : 0,32 mg Manganèse : 0,16 mg
Vitamines
Bêta-carotène : 1630 µg Vitamine B3 : 0,5 mg Vitamine B5 : 0,24 mg Vitamine B9 : 6,2 µg Vitamine C : 5,45 mg Vitamine E : 0,61 mg
Attention, l'abricot est riche en FODMAPs et donc non recommandé en cas de syndrome de l'intestin irritable (SII) :https://le-quotidien-du-patient.fr/article/a-table/alimentation-sante/regime-pauvre-fodmaps/2018/04/18/comprendre-fodmaps/
Bienfaits de l’abricot
L’abricot est un petit fruit très intéressant d’un point de vue nutritionnel : il est peu calorique et riche en eau. Il contient une grande quantité de glucides sous forme de sucres, qui apportent de l’énergie à l’organisme.
Par ailleurs, c’est un fruit riche en fibres, solubles et insolubles. Elles participent à la régulation de la glycémie post-prandiale, à la diminution du taux de mauvais cholestérol (LDL-cholestérol), et favorisent un bon transit intestinal. L’apport de fibres serait également associé à une diminution du risque du cancer colorectal.
Cependant, l’abricot sec contient plus de fibres que l’abricot frais. Du fait de sa déshydratation, il renferme également une teneur en protéines plus élevée. Celui-ci est aussi plus intéressant au niveau de ses apports en béta-carotène supérieur à celui de l’abricot frais. Il est donc conseillé d’alterner la consommation de ce dernier et d’abricot sec.
L’abricot est une très bonne source d’antioxydants (flavonoïdes, béta-carotène, composés phénoliques, etc). Ces composés participent à la protection du coeur et des artères du système cardio-vasculaires, et à la prévention des cancers en piégeant les radicaux libres néfastes pour l’organisme. Ils ont également des effets positifs sur les fonctions cérébrales (mémoire, expression). Les antioxydants protègent du vieillissement de la peau et luttent contre le stress oxydatif des cellules. En plus de leurs vertus antioxydantes, ces composés exercent de nombreuses fonctions :
– le bêta-carotène : il est responsable de la coloration orange des aliments. C’est un précurseur de la vitamine A, qui a un rôle dans la vision notamment. L’abricot sec en contient plus que l’abricot frais.
– le manganèse : il lutte contre les allergies et prévient des maladies cardio-vasculaires.
– la vitamine C : elle facilite la cicatrisation, réduit les réactions allergiques, prévient de la cataracte et des maladies dégénératives et stimule les défenses immunitaires.
– La vitamine E : elle intervient aussi dans la formation de l'hémoglobine et est aussi anti-hémolytique.
Il comporte également des minéraux et des oligo-éléments
– le potassium : il a un rôle dans la répartition de l’eau corporelle et dans l’équilibre hydro-électrique de l’organisme. Il intervient aussi dans de nombreuses réactions métaboliques ;
– le magnésium : il a des rôles multiples. C’est un cofacteur de nombreuses réactions enzymatiques. Il participe à l’excitabilité musculaire, à la régulation de la perméabilité cellulaire ainsi qu’à la motricité intestinale. Il intervient aussi dans la contraction et la relaxation musculaire et dans la protection du foie principalement ;
– le phosphore : il participe à la minéralisation des os et des dents. Il est aussi l’un des constituants majeurs de certaines molécules (protéines et lipides par exemple) ;
– le calcium : il a un rôle structural car c’est un composant de l’armature osseuse et des dents. Il a, en outre, plusieurs rôles fonctionnels : dans l’influx nerveux, dans l’activation de réactions enzymatiques, dans la sécrétion d’hormones, dans la division cellulaire, dans la régulation de la tension artérielle, dans la contraction musculaire et dans la coagulation du sang.
Et sinon : Découvrez 10 recettes pour mettre en valeur l'abricotEt enfin, certaines vitamines du groupe B :
– la vitamine B3 : elle intervient dans les réactions des métabolismes glucidiques, protidiques et lipidiques et dans la production d’énergie.
– la vitamine B5 : elle intervient également dans les métabolismes glucidiques et lipidiques. Elle favorise la cicatrisation et a des bienfaits sur la peau.
– la vitamine B9 : elle participe à la formation des cellules sanguines, des cellules nerveuses et des neuromédiateurs au niveau du cerveau.
Contenu relu et validé par une diététicienne WeCook.Sources
https://pro.anses.fr/tableciqual/index.htm http://fr.wikipedia.org/wiki/Abricot http://www.passeportsante.net/fr/Nutrition/EncyclopedieAliments/Fiche.aspx?doc=abricot_nu http://onmangequoi.lamutuellegenerale.fr/encyclopedie/les-aliments/fruits-et-legumes/labricot
Tout savoir sur la nectarine, la pêche et le brugnon : leurs vertus, leurs bienfaits, leurs propriétés et leurs valeurs nutritionnelles.
Description de la pêche
La nectarine, la pêche et le brugnon font partie de la famille des Rosacées. Ce sont des fruits ronds de couleur rouge orangée. Leur chair est charnue et comprend un gros noyau. Ils font partie de la même espèce, mais sont simplement des variétés différentes.
La pêche serait apparue il y a très longtemps, tout d’abord en Chine. L’histoire raconte que le fruit représentait la fertilité et l’immortalité. La consommation du fruit se serait peu à peu propagée jusqu’en Moyen-Orient. La pêche n'est cultivée en France que depuis le XVe siècle. Dans les jardins de Louis XIV, il y aurait eu plus de trente variétés cultivées.
Aujourd’hui, c’est dans son pays d’origine, la Chine, que la majorité de la production mondiale de pêche est réalisée. En Europe, le pêcher est implanté surtout en Italie, en Espagne, en Grèce mais aussi dans le sud de la France.
Variétés de pêche, de nectarine et de brugnon
On retrouve généralement chez toutes les variétés de pêche, de nectarine ou de brugnon un goût assez sucré, une chair très juteuse et légèrement acide. Il existe énormément de variétés de ces fruits.
Chez les pêches, on retrouve celles à chair blanche comme la “Reine des vergers”, la “Charles Ingouf” ou la “Amsden”. Il y a aussi les pêches à chair jaune comme la “Roussane de Rodez”, la “Triumph”, la “Arp Beauty” ou la “Vire coton”. Les pêches “pavie” et les pêches plates se distinguent par leur plus petite taille et par leur forme plate. Elles ont un goût et une qualité nutritionnelle se rapprochant de celles des pêches classiques.
Les nectarines et les brugnons ont une peau lisse et brillante, contrairement aux pêches à la peau duveteuse. Du côté des nectarines, on retrouve des variétés telles que la “Fantasia” ou la “Précose de Croncels”. Chez les brugnons, il y a la “Violet Cardinal” ou encore la “Silver Lode”.
Valeurs nutritionnelles pour 100 g de pêche fraîche (pulpe et peau)
Macronutriments
Calories : 225 kJ/53,4 kcal Eau : 85,1 g Protéines : 0,903 g Lipides : 0,25 g Glucides : 10,2 g (dont sucres : 8,74 g) Fibres : 2,85 g
Minéraux
Potassium : 215 mg Phosphore : 20,6 mg Calcium : 7,32 mg Magnésium : 11,2 mg Cuivre : 0,075 mg Fer : 0,152 mg Zinc : 0,118 mg
Vitamines
Bêta-carotène : 162 µg Vitamine B3 : 0,635 mg Vitamine B9 : 15,5 µg Vitamine C : 5,75 mg
À découvrir : 10 recettes qui donnent la pêcheValeurs nutritionnelles pour 100 g de nectarine fraîche (pulpe et peau)
Macronutriments
Calories : 180 kJ/42,6 kcal Eau : 87,8 g Protéines : 1,4 g Lipides : 0,1 g Glucides : 7,69 g (dont sucres : 7,62 g) Fibres : 2,12 g
Ces fruits ont un indice glycémique (IG) bas :https://le-quotidien-du-patient.fr/type-fiche/2017/12/11/tout-savoir-sur-lindice-glycemique-en-7-points/
Minéraux
Potassium : 168 mg Phosphore : 20,1 mg Calcium : 4,85 mg Magnésium : 9,06 mg Cuivre : 0,076 mg Fer : 0,285 mg Zinc : < 0,17 mg
Vitamines
Bêta-carotène : 150 µg Vitamine B3 : 0,6 mg Vitamine B9 : 20 µg Vitamine C : 20,3 mg
Bienfaits de la pêche, de la nectarine et du brugnon
La pêche, la nectarine et le brugnon contiennent des antioxydants. Ces composés participent à la protection du coeur et des artères et à la prévention des cancers. Ils ont des effets positifs sur les fonctions cérébrales (mémoire, expression). Les antioxydants protègent du vieillissement de la peau et luttent contre le stress oxydatif des cellules. En plus de leurs vertus antioxydantes, ces composés exercent de nombreuses fonctions :
– la bêta-carotène : responsable de la coloration orange des aliments et précurseur de la vitamine A, qui a un rôle dans la vision notamment ;
D'autres aliments riches en bêta-carotène favorisent le bronzage :https://le-quotidien-du-patient.fr/article/2018/06/20/meilleurs-aliments-bronzage-de-reve/
– la lutéine : action bénéfique sur la peau et sur la rétine, prévention des maladies cardio-vasculaires ; – la vitamine C : facilite la cicatrisation, réduit les réactions allergiques, prévient de la cataracte et des maladies dégénératives et stimule les défenses immunitaires ; – la zéaxanthine : protège de la dégénérescence maculaire liée à l’âge ; – le cuivre : joue un rôle dans le fonctionnement des globules rouges, la fixation du fer et la lutte contre les affections inflammatoires ; – le zinc : limite le stress, prévient des maladies cardio-vasculaires, des cancers ; – les flavonoïdes : préviennent des maladies cardio-vasculaires, des cancers et de l’athérosclérose. Ils protègent aussi les parois des vaisseaux et augmentent la fluidité sanguine.
Ils comportent également des minéraux, des oligo-éléments et des vitamines :
– le potassium : rôle dans la tension artérielle et dans la contraction des muscles ; – le phosphore : rôle dans la trame du squelette osseux et participe au bon fonctionnement du système nerveux ; – le magnésium : défense de l’organisme, prévention du stress et rôle dans l’influx nerveux ; – le calcium : composant de l’armature osseuse et des dents. Il joue un rôle dans la tension artérielle, dans le rythme cardiaque et dans la contraction musculaire ; – le fer : transport de l'oxygène aux cellules ; – la vitamine B3 : réduit le taux de “mauvais” cholestérol, diminue les triglycérides, dilate les artères et a des bienfaits sur la peau ; – la vitamine B9 : formation des cellules sanguines, des cellules nerveuses et des neuromédiateurs au niveau du cerveau.
On retrouve aussi des anthocyanes, qui jouent le rôle d’anti-infectieux, d’anticholestérol et d’antitriglycérides. Et des fibres solubles qui maintiennent constante la glycémie et diminuent le taux de “mauvais” cholestérol, le LDL-cholestérol.
Contenu relu et validé par une diététicienne WeCook.Sources
Franck Senninger (Docteur), Les aliments qui entretiennent votre santé http://sante.lefigaro.fr/mieux-etre/nutrition-aliments/peche/que-contient-peche http://jardinage.comprendrechoisir.com/plante/voir/21/pecher
Les aliments sont des denrées d’origine animale, végétale ou mixte, destinés à fournir de l’énergie à notre organisme. Ils sont constitués de nutriments, d’eau et parfois de fibres. Les nutriments ont pour but de nourrir les cellules de l’organisme et d’assurer son bon fonctionnement.
Macro et micronutriments : comment les distinguer ?
- Les macronutriments : représentés par les protéines, les lipides et les glucides. Ce sont les trois éléments dits énergétiques. - Les micronutriments : représentés par les vitamines et les minéraux. Ils ne sont pas énergétiques mais ont un rôle fonctionnel pour l’organisme.Ainsi, on détermine un besoin pour chaque nutriment, qui varie selon chaque individu en raison de l’âge, du sexe ou encore de la taille.
Les macronutriments, les substances énergétiques pour notre corps
1 - Les protéines
Les protéines, constituées d’enchaînements d’acides aminés, sont les « briques » de notre organisme et possèdent plus d’une dizaine de rôles pour celui-ci (rôle structural, rôle hormonal, transport de molécules ou encore protecteur du système immunitaire).Il n’existe pas de stock à proprement parler de protéines mais un turn over du stock d’acides aminés disponibles pour la synthèse protéique. C’est pour cette raison qu’un apport protéique alimentaire est indispensable, à la fois pour éviter les carences mais également pour assurer une qualité protéique optimale en apportant les 20 acides aminés existants. Chaque gramme de protéine apporte 4 calories. Il est recommandé d’apporter chaque jour au minimum 0.83g de protéines par kilo de poids et par jour. Cela correspond, pour une femme de 60 kg, à environ 50g de protéines. L’idéal serait de concilier apport protéique d’origine animale (viande, œuf, poisson…) et végétale (légumes secs notamment).
2 - Les lipides
Plus connus sous le nom de graisses, les lipides sont les macronutriments les plus énergétiques, avec 9 calories au gramme. Trop souvent diabolisés, ils sont pourtant essentiels à notre organisme car ils composent nos membranes cellulaires mais ont aussi un rôle de transport (vitamines liposolubles, hormones…) et de précurseur hormonal (notamment les hormones sexuelles). Dans le langage courant, on distingue les « bonnes graisses » des « mauvaises graisses ».Parmi les mauvaises graisses, on retrouve principalement : - les acides gras saturés, présents dans le beurre, la crème ou encore la charcuterie… - les acides gras trans, très souvent d’origine industrielle et qui sont incriminés dans l’apparition de maladies cardiovasculaires. - le cholestérol LDL, qui se dépose au niveau des artères d’où sa qualification de mauvais cholestérol.
Parmi les bonnes graisses, on distingue les acides gras dits insaturés, et plus particulièrement les acides gras polyinsaturés (AGPI), tels que les oméga-6 et les oméga-3. Mais la grande famille des acides gras ne s’arrête pas là, loin de là !
Pour aller plus loin :
https://le-quotidien-du-patient.fr/article/2018/06/15/omega-3-omega-6-vrai-ou-faux/
3 - Les glucides
Dernier macronutriment et non des moindres : les glucides. Ils constituent la source principale d’énergie pour l’organisme sous forme de glucose. Ils ne sont pas dits « essentiels » car le corps peut les synthétiser à partir d’autres molécules, à l’inverse des protéines et de certains acides gras. On distingue les glucides complexes des glucides simples.- Les glucides complexes, plus connus sous le terme de « féculents », sont présents dans les céréales et les produits de panification. - Les glucides simples, eux, connus sous l’appellation « sucres », sont présents dans les fruits, mais aussi dans les produits tels que le sucre pur, la confiture, les confiseries ou encore les gâteaux industriels.
https://le-quotidien-du-patient.fr/article/a-table/bien-manger/aliments/2018/01/23/4218/
Les micronutriments
Parmi les micronutriments, on retrouve les vitamines et les minéraux. Ils agissent à de très faibles quantités et sont de véritables « atouts » nutritionnels.1 - Les vitamines
Deux types de vitamines existent : - les vitamines dites hydrosolubles, c’est-à-dire solubles dans l’eau. - celles dites liposolubles, c’est-à-dire solubles dans les lipides/graisses. Les vitamines A, D, E et K sont les vitamines liposolubles présentes dans notre alimentation. A contrario, les vitamines du groupe B ainsi que la vitamine C sont les vitamines hydrosolubles. Les vitamines ont un rôle essentiel dans la régulation de notre organisme car elles participent à de nombreuses réactions internes.La vitamine D a de nombreux bienfaits, notamment en cas de syndrome de l'intestin irritable :
https://le-quotidien-du-patient.fr/article/2018/05/10/vitamine-d-syndrome-intestin-irritable/
2 - Les minéraux
Parmi les minéraux, on distingue deux sous catégories : - Les oligoéléments : fer, cuivre, manganèse… il en existe une grande quantité ! - Les électrolytes : sodium, calcium, magnésium, phosphore, potassium et chlore. Tous deux interviennent dans le métabolisme de nos cellules, et participent également à l’élaboration de nos hormones et des enzymes de notre corps.Et voilà, vous en savez désormais un peu plus sur les macros et les micronutriments, éléments essentiels pour notre organisme. Plus d'excuse : vous pouvez vous maintenir en bonne forme !
Contenu relu et validé par une diététicienne WeCook, article mis à jour le 12 juillet 2018.
Le jus ananas-gingembre pauvre en FODMAPs : enfin une boisson pour se rafraîchir tout en prenant soin de son intestin. En effet, l'ananas et le gingembre sont tous deux pauvres en FODMAPs, vous pouvez donc en consommer sans crainte particulière. Quant au sucre, veillez à ne pas dépasser 1 cuillère à soupe.
Préparation du jus ananas-gingembre pauvre en FODMAPs :
1 - Pelez l'ananas et coupez la chair en cubes.2 - Pelez ensuite le gingembre et coupez-le.
3 - Dans un blender, mixez l'ananas et le gingembre finement jusqu'à obtenir une purée parfaitement homogène.
4 - Ajoutez le litre d'eau et le jus du citron. Mixez à nouveau.
5 - Filtrez le mélange à l'aide d'un tamis ou d'un chinois.
6 - Ajoutez la cuillère à soupe de sucre. Mélangez bien.
7 - Réservez votre jus durant au moins 2 heures avant de le servir.
En cas de Syndrome de l'intestin irritable, vous pouvez consommer l'ananas, pauvre en FODMAPs :
https://le-quotidien-du-patient.fr/article/a-table/bien-manger/aliments/2015/05/05/ananas-bienfaits-valeurs-nutritionnelles/
Contenu relu et validé par une diététicienne WeCook.
Les ballonnements font partie de votre quotidien ? Votre alimentation y est sûrement pour quelque chose. LQDP a la solution : les graines de fenouil pour soulager les ballonnements.
À l'origine des ballonnements
Les ballonnements peuvent entre autres être liés à de mauvaises habitudes alimentaires, une consommation excessive d'aliments ultra-transformés (AUT), ou des repas déséquilibrés. Très fréquents chez l'adulte, ils causent flatulences et gonflements du ventre. Les remèdes à ces maux sont divers : pratiquer une activité physique, faire appel aux compléments alimentaires, rééquilibrer son alimentation...Un premier conseil ? Prendre le temps de mastiquer.
D'autres conseils :
https://le-quotidien-du-patient.fr/article/demain/medecine/2018/05/24/gaz-ballonnements-stop/
Les graines de fenouil pour soulager les ballonnements
Faites de la place aux graines de fenouil au quotidien. Leur teneur en fibres alimentaires et leur caractère diurétique permettent de renforcer les muscles intestinaux. Et c'est un excellent remède maison pour dire adieu aux ballonnements. Outre son action sur les troubles digestifs, les graines de fenouil ont de formidables vertus antioxydantes, permettant ainsi une baisse des risques de maladies cardiovasculaires et de maladies liées au vieillissement.Les graines de fenouil révèlent leur efficacité quand vous les consommez sous forme de tisane. Laissez infuser une cuillère à café de graines de fenouil durant 10 minutes dans 250 ml d'eau bouillante. Trois tasses par jour devraient vous soulager. Vous pouvez également les utiliser en accompagnement de vos salades et poissons.
D'autres aliments anti-ballonnements :
https://le-quotidien-du-patient.fr/article/a-table/bien-manger/aliments/2018/06/26/les-10-aliments-anti-ballonnement-2/
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Source
- Medisite.Page 108 sur 214