
Comment la peau fait-elle pour cicatriser ?
Quand on se coupe, on détruit des cellules de la partie supérieure de la peau : l’épiderme, et on endommage les petits vaisseaux sanguins qui s’y trouvent. Aussitôt les cellules du sang appelées plaquettes se collent entre elles de façon à former un caillot. Ce « bouchon » empêche » le sang de couler. On dit que le sang coagule. Puis les cellules situées à côté des cellules endommagées commencent à fabriquer des fibrilles de collagène, une protéine qui va aider à la réparation de la zone endommagée. Ces fibrilles tissent, au fil des jours, un réseau de tissu plus épais, appelé tissu conjonctif qui vient remplacer la partie de peau abîmée. Une peau toute neuve apparaît : la cicatrice. Cette nouvelle zone de peau est généralement plus pâle et plus fragile que l’ancienne. Il faut éviter de l’exposer au soleil. Elle bronze plus vite et conservera sa couleur, comme un tatouage.Pourquoi faut-il toujours désinfecter une plaie ?
La peau fonctionne comme une enveloppe protectrice. Elle empêche microbes et autres corps étrangers de pénétrer dans ton corps. Quand on se coupe, cela fait comme une brèche. Les microbes peuvent s’infiltrer facilement, et déclencher une infection, retardant ainsi la cicatrisation. Pour éviter que cela ne se produise, il faut toujours nettoyer la plaie avec un antiseptique (un désinfectant à usage corporel) ou tout simplement de l’eau savonneuse.Des points de suture, pourquoi ?
Quand une plaie n’est pas nette, ou lorsqu’elle est profonde et a endommagé les tissus situés sous l’épiderme, le médecin fait ce qu’on appelle des « points de suture ». Après avoir soigneusement nettoyé la plaie, il rapproche les bords de la plaie et les coud entre eux à l’aide d’un fil chirurgical. Cela permet à la peau de cicatriser plus vite, et d’obtenir une cicatrice plus jolie.La brûlure
Quand on se brûle, la température de la peau s’élève. La première chose à faire est de placer la zone brûlée sous l’eau courante, de façon à stopper l’inflammation. Et il faut l’y laisser tant qu’elle n’a pas refroidi ! Sous l’effet de la chaleur, les vaisseaux sanguins se sont dilatés, laissant échapper le liquide translucide dans lequel baignent les cellules sanguines : le plasma. Les tissus gonflent (c’est l’œdème), la zone brûlée devient rouge et douloureuse.
Si seule la partie en surface de la peau est atteinte, les cellules de la peau et les vaisseaux sanguins, comme dans le cas d’une coupure, vont progressivement se reformer. Les cellules mortes vont tomber toutes seules, par plaques : on desquame ou on pèle. Quand la brûlure a atteint le derme, les globules blancs entrent en action. Ils pénètrent dans les tissus brûlés pour détruire les cellules endommagées.
Pourquoi parfois des cloques apparaissent ?
Sous l’effet de l’inflammation, les vaisseaux sanguins laissent échapper du plasma. L’épiderme se soulève et forme une cavité qui se remplit de ce liquide : c’est l’ampoule ou la cloque, plus scientifiquement baptisée « phlyctène ». Elle se résorbe généralement d’elle-même en quelques jours. Le liquide repasse progressivement dans les tissus, puis est évacué par les vaisseaux sanguins. En revanche, si l’ampoule « éclate », il faut faire très attention : la peau est alors directement en contact avec toutes sortes de microbes et le risque d’infection devient élevé.Le sais-tu ?
Il ne faut jamais mettre de corps gras sur une brûlure. La peau continuerait à « cuire ».La cicatrisation est un long processus pouvant être ralenti par divers facteurs. L'alimentation joue un rôle prépondérant dans le processus de cicatrisation, qui peut facilement être perturbé.
Les 3 phrases du processus de cicatrisation
La cicatrisation est un processus qui se déroule en 3 phases qui peuvent se chevaucher dans le temps : 1 - Une phase inflammatoire et vasculaire : ça chauffe, ça gonfle, c’est rouge… C’est normal, c’est la réponse immunitaire qui se met en place. 2 - Une phase de prolifération et de formation de nouveau tissu : au boulot, il faut reconstruire ! 3 - Une phase de maturation du nouveau tissu : le nouveau tissu doit prendre pleine possession de sa nouvelle fonction et acquérir ses nouvelles capacités.De nombreux acteurs au service de la cicatrisation
De nombreux acteurs vont intervenir pour permettre la cicatrisation : des cellules, des protéines structurelles (collagène), des facteurs de croissance… Bref, il y a pas mal d’intervenants et notre organisme ne fera pas appel à eux pour toutes les phases de la cicatrisation : chacun a un rôle précis !Si tout ce petit monde fait bien son travail, la cicatrisation se fera correctement et selon un processus normal. En revanche, si un quelconque déséquilibre vient perturber la cicatrisation, cela conduit à un retard de cicatrisation et cela peut même engendrer des situations pathologiques, comme par exemple des escarres !
Une cicatrisation facilement perturbée
Les déséquilibres qui peuvent venir perturber la cicatrisation sont : - La dénutrition. - Une atteinte métabolique, le diabète par exemple. - Une atteinte vasculaire. - Une atteinte immunitaire. - La prise d’anti-inflammatoires. - La prise de corticoïdes. - La chimiothérapie ou la radiothérapie. - Une diminution de la mobilité. - Le stress. - La continence.Donc, le processus de cicatrisation est très sensible et la moindre chose peut venir le perturber ! Au contraire, la cicatrisation peut aussi être favorisée par certains éléments que l’on retrouve notamment dans l’alimentation !
L’alimentation à la rescousse de la cicatrisation
Vous l’aurez compris, la première chose à faire en cas de perturbation de la cicatrisation, c’est traiter le ou les déséquilibre(s) à l’origine, quand c’est possible bien évidemment. Par exemple, en cas de dénutrition, on privilégiera un régime riche en protéines ; en cas de diminution de la mobilité ou en cas d’immobilité totale, on adaptera le matériel et on installera par exemple des matelas spécifiques… Outre le fait de traiter les déséquilibres qui peuvent venir perturber la cicatrisation, certains nutriments peuvent aussi l’améliorer.La glutamine : un acide aminé aux supers pouvoirs
La glutamine est un acide aminé (donc appartient à la famille des protéines) qui intervient à plusieurs étapes de la cicatrisation. Il va stimuler la prolifération fibroblastique et lymphocytaire, stimuler la production de cytokines et augmenter la réponse immunitaire de l’inflammation. En d’autres mots, la glutamine apporte un bénéfice en terme de vitesse de cicatrisation.https://le-quotidien-du-patient.fr/article/demain/medecine/maladies-chroniques/2018/11/05/glutamine-syndrome-intestin-irritable/
L’arginine : un autre acide aminé aux supers pouvoirs ?
Des expériences ont montré que chez des sujets sains, un apport en arginine permet une augmentation des protéines et du collagène au niveau des plaies. Rappelons que les protéines et le collagènes sont deux éléments structuraux qui permettent la cicatrisation. Sur des plaies du quotidien cet effet a été démontré. Par contre, sur des plaies chroniques, c’est-à-dire des plaies qui mettent plus de 4 à 6 semaines à cicatriser, son effet n’est pas encore démontré.Ne vous privez pas de glucides !
La cicatrisation est un processus qui consomme beaucoup d’énergie ! Or, les glucides sont une source importante d’énergie. D’ailleurs, chez les personnes diabétiques où on contrôle les apports en glucides, on remarque de la cicatrisation est altérée. Donc pour les personnes diabétiques qui ont des plaies, on conseillera surtout de maintenir un bon équilibre glycémique. Ne vous privez pas non plus de lipides ! En effet un régime pauvre en acides gras est souvent associé à une altération et/ou un retard de cicatrisation.Protéines, lipides, glucides… Et les vitamines alors ?
Et non, les vitamines ne sont pas à laisser de côté non plus : elles peuvent aussi vous permettre d’améliorer votre cicatrisation. La vitamine A par exemple, a pour rôle de stimuler la prolifération et la différenciation fibroblastique ainsi que la synthèse de collagène. De plus elle active la réponse inflammatoire nécessaire à la cicatrisation. Cependant aucune étude n’a encore permis de prouver que des apports augmentés en vitamine A permettent une meilleure cicatrisation.De même, la vitamine C est réputée pour jouer un rôle dans la synthèse du collagène, donc dans la cicatrisation. Des études ont prouvé que chez les personnes carencées en vitamine C, une supplémentation permettait de réactiver le processus de cicatrisation. Par contre, chez Monsieur et Madame tout le monde, il n’y a pas de preuve qu’un apport supplémentaire une vitamine C permette d’accélérer la cicatrisation… Dommage ! On aurait pu vous parler de la vitamine E qui stimule notamment la réponse immunitaire mais son rôle dans la cicatrisation est encore controversé.
https://le-quotidien-du-patient.fr/article/a-table/bien-manger/aliments/2018/10/29/les-vitamines/
Et pour finir… le zinc !
Le zinc a comme propriété de participer à la réponse immunitaire, en empêchant notamment la prolifération des bactéries. Il n’y a pas de preuve clinique qu’une supplémentation en zinc améliore grandement la cicatrisation, toutefois, on dira qu’il est fortement conseillé de corriger une éventuelle carence.Arginine, glutamine, vitamines, zinc, lipides… ça nous fait une belle jambe ! Mais, concrètement, on mange quoi pour cicatriser ?
Rappelons tout d’abord, qu’il est essentiel d’avoir une alimentation équilibrée mais surtout DIVERSIFIÉE. C’est en diversifiant votre alimentation que vous arriverez à apporter à votre corps tous les nutriments dont il a besoin et d’autant plus lorsqu’il doit cicatriser une plaie. Favorisez : - Les viandes, poissons, œufs et produits laitiers, notamment pour leurs apports en protéines donc leurs apports en glutamine et arginine. - Les bonnes matières grasses ! Et oui, ce n’est pas parce qu’on vous a dit que les lipides aident à cicatriser qu’il faut se ruer sur tous les aliments gras ! Ainsi, pensez aux poissons gras (et en plus ils apportent des protéines, donc de l’arginine et de la glutamine !), aux bonnes matières grasses… Et évitez les plats du commerce, les viennoiseries, les biscuits apéritifs… - Les légumineuses et les céréales contiennent aussi des protéines, donc on ne les oublie pas ! On retrouvera notamment de l’arginine dans le riz brun, l’avoine, le sarrasin, les lentilles et de la glutamine dans les lentilles, les pois cassés, les haricots… Bref, ne les négligez pas !La cicatrisation est un processus très complexe. Il faut laisser faire le temps et venir aider notre corps grâce à une alimentation diversifiée qui lui apportera tous les outils et matériaux nécessaires à votre rétablissement !
Sources
- Diplôme universitaire – Nutrition et vieillissement -Bardul A et al., "Arginine enhances wound healing and lymphocyte immune responses in humans", Surgery 1990, 108 : 331-337. - EPUAP, Recommandations nutritionnelles dans la prévention et le traitement des escarres, Novembre 2003. - Guillot B., "Physiopathologie des plaies chroniques et des retards de cicatrisation. Plaies et cicatrisations au quotidien", Sauramps médical. 2001. - Senet P., Meaume S., "Physiologie de la cicatrisation cutanée", EMC 98-040-A-10, (2000).Le Syndrome de l’Intestin Irritable (SII) est connu pour ses manifestations digestives (ballonnements, troubles du transit, douleurs abdominales) et dans une moindre mesure pour son impact sur la qualité de vie.
Pour aller plus loin : Tout savoir sur le SII, causes, symptômes et traitements :
https://le-quotidien-du-patient.fr/article/demain/medecine/maladies-chroniques/2018/02/20/le-sii-est-une-maladie-chronique-et-taboue-qui-empoisonne-la-vie-de-tous-ceux-qui-en-sont-atteints-parlons-en/
Pourtant, au même titre qu’une maladie chronique, ce syndrome a des répercussions sur le bien-être des personnes qui en souffrent ainsi que leur entourage proche.
Les troubles psycho-affectifs
Une équipe de recherche s’est intéressée à l’association entre troubles psycho-affectifs et SII. En comparant des sujets atteints de SII avec des sujets sains, ils ont ainsi montré que l’anxiété, la dépression et l’alexithymie (autrement dit, l’incapacité à exprimer ses émotions ou sentiments par des mots) étaient significativement plus importantes et plus fréquentes chez les patients atteints de SII que chez les sujets sains. De la même manière, la présence d’un SII altère significativement la qualité de vie : 72,9% des sujets atteins de SII ont une qualité de vie dégradée, contre 42,9% chez les sujets sains.Le profil du patient
D’après cette étude, personne n’est épargné puisque les chercheurs ont montré que le sexe, le statut matrimonial et la profession n’influençaient pas sur la survenue des troubles psycho-affectifs. Cependant, l’anxiété était favorisée par la coexistence d’un asthme et par l’apparition précoce du SII. Et la présence de signes extra-digestifs associés aux symptômes digestifs favorisaient quant à eux la survenue d’une dépression.En précisant les liens entre SII et troubles psycho-affectifs, les chercheurs dessinent petit à petit un tableau plus global de ce syndrome. Les patients ont tout à y gagner : meilleure connaissance de leur pathologie, prise en charge intégrée, … Avec en perspective une amélioration de leur qualité de vie.
Source
- Science directIl faut parfois l'admettre, la santé gynécologique regorge de mystères pour la plupart d'entre nous. Un champ aussi large que complexe que nous ne connaissons pas vraiment. Et puisqu'il ne faut pas avoir honte de son manque de connaissances, le Docteur Marie-Laure Brival a publié Mon guide gynéco pour les nuls, disponible aux éditions First.
Un ouvrage accessible à toutes et à tous
Ce livre a pour dessein de donner aux femmes - voire aux hommes - les clefs afin de comprendre et de contribuer à leur santé gynécologique. Car l'appareil génital et son fonctionnement restent pour beaucoup une énigme qu'il est nécessaire de résoudre. De multiples pans de la gynécologie sont abordés, dans un langage simple et accessible, afin de permettre une solide acquisition d'informations sur le corps féminin et son fonctionnement.Savoir et pouvoir
L'une des forces de cet ouvrage est sans nul doute l'alliance entre un savoir théorique et son application pratique. Dès les premières pages en effet, nous découvrons l'histoire de la gynécologie. Savez-vous par exemple qui est la femme qui est considérée telle la pionnière de la gynécologie ? Ou de quand date le spéculum ? De quoi épater les amis au Trivial Pursuit ! L'auteur fait également la part belle à l'appareil génital féminin et met à votre disposition nombre d'informations sur l'anatomie et son fonctionnement pour que vous puissiez comprendre votre corps.
Après la théorie, place à la pratique et à la consultation gynécologique, bien trop souvent redoutée car incomprise. Le Dr Brival vous oriente quant au choix de votre praticien et le déroulement de la consultation. Outre ces généralités pourtant bien utiles, des situations spécifiques sont abordées pour que chacune puisse s'y retrouver, depuis l'adolescente en questionnement jusqu'à la femme confrontée à la ménopause.
Ces petites choses qui fâchent
Puisqu'il faut bien passer par là, une partie de l'ouvrage est consacrée aux diverses pathologies que peuvent connaître les femmes. De nombreux savoirs que nous considérons comme acquis reposent sur des idées reçues, cette partie est l'occasion pour vous d'avoir accès à une information fiable et lisible. IST, endométriose ou encore infertilité sont des thématiques abordées car vous pouvez être amenée à y faire face, et il faut être préparée ! La contraception - éternel sujet de discorde - n'est pas éludée dans cet ouvrage. Bien au contraire, ce qui constitue une réelle préoccupation pour chacune d'entre vous mérite que l'on s'y intéresse. Quelle méthode de contraception serait la plus adaptée à votre situation ? Peut-on se fier aux médias quant aux informations relatives à la contraception ? Vous saurez et pourrez tout comprendre !L'IVG, une préoccupation majeure
Durant sa vie fertile, près d'une femme sur deux devra affronter une IVG. Rappelons que l'avortement est un droit âgé d'à peine plus de 40 ans. Un long chemin parsemé d'embûches avant d'aboutir à la loi Veil de 1975, qu'il est nécessaire de connaître. Après la théorie, la pratique grâce à toutes les informations nécessaires à ce parcours de soin. Quelles techniques ? Quelles sont les conséquences de l'IVG ? Même si cela ne vous concerne pas aujourd'hui, n'oubliez pas que le savoir est une force.Avoir possession de sa vie gynécologique
Grâce à ce livre, vous deviendrez maîtresse de votre vie gynécologique ! Vous aurez toutes les informations pour vous permettre d'aborder sereinement tout événement ou imprévu du quotidien. Des repères solides s'érigeront naturellement, vos questions trouveront une réponse, et vous pourrez nouer un dialogue plus équilibré avec votre praticien - et non plus simplement hocher de la tête à chacune de ses paroles. Il est temps de se « réapproprier sa vie gynécologique » !Petit plus
Au terme de cet ouvrage, découvrez les 10 idées reçues sur la contraception !Docteur Marie-Laure Brival, Mon guide gynéco pour les nuls, éditions First, 2017, 320 pages, 11,95 €. Disponible sur le site de la Fnac.
Une pluie de récompenses pour Diabilive
DiabiLive a déjà reçu le prix du président de la République lors du Concours Lépine International Paris 2016 et la médaille des Affaires Sociales et de la Santé au Concours Lépine Européen Strasbourg 2016. Et cette année s'annonce excellente pour la start-up, dont l'application vient de se voir remettre un innovation award honoree au Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas. De prestigieuses récompenses pour la jeune start-up lancée par Benoît Mirambeau et Nicolas Babin.Des retombées immédiates
L'édition 2018 du CES aura permis aux deux créateurs de nouer un partenariat international grâce à l'accord passé avec l'entreprise américaine iHealth, spécialisée dans la fabrication et la distribution de produits destinés à la santé connectée.Ce partenariat s'ajoute à celui conclu fin 2017 avec la mutuelle Prévifrance, qui devrait prendre en charge une part conséquente du prix de l'abonnement à Diabilive pour ses adhérents souffrant de diabète.
Diabilive, qu'est-ce que c'est ?
Cette application vous permettra de personnaliser votre calcul de dose d'insuline d'après votre protocole. À chaque test glycémique par exemple, Diabilive vous indiquera la dose d'insuline à utiliser. Lors de vos repas, l'application sera encore à vos côtés en vous indiquant la quantité de glucides consommée. Vous pourrez - et devrez - indiquer votre bilan hebdomadaire de votre taux de glycémie, de votre taux de glucides ou encore de vos activités physiques.
Vous ou bien votre médecin traitant pourrez saisir le protocole à appliquer. Des algorithmes ont en effet été mis en place afin de vous signaler la dose exacte d'insuline à vous injecter
Vos proches alertés
Lors de votre souscription à Diabilive, vous aurez à saisir les numéros de téléphone et adresses électroniques des personnes à prévenir en cas d'urgence. En cas d'hypo ou d'hyperglycémie, vous n'aurez qu'à cliquer sur le bouton S.O.S afin de prévenir vos proches.[embed]https://www.youtube.com/watch?v=nvk6su3uqzw[/embed]
Diabilive, bientôt disponible sur l'App Store et Google Play.
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