
Enceinte, félicitations ! La grossesse modifie votre état physiologique, c'est vrai. Vous devez continuer à vous alimenter, en ajoutant les éléments nutritifs suffisants et adaptés au bon développement de votre bébé. Faut-il manger pour deux pour autant ?
Manger pour deux quand on est en enceinte ? Non, mais Augmentez vos apports caloriques.
D’un point de vue strictement diététique, augmentez votre ration calorique de 10 à 20% par jour. Vous pourrez ainsi continuer vos activités habituelles, tout en apportant des protéines, des glucides et des lipides en quantité suffisante pour que votre enfant puisse construire son cerveau, ses muscles et tout ce qui compose son organisme.Augmentez également vos apports en calcium afin de donner à votre enfant les apports suffisants pour construire ses os. Apportez lui suffisamment de fer pour qu’il puisse créer ses globules rouges.
Favorisez les protéines d’origine animale riche en fer et en vitamine B12, les sucres lents qui permettent d’avoir une glycémie stable dans le temps, et les lipides polyinsaturés riches en bons acides gras pour construire le système neurologique.
https://le-quotidien-du-patient.fr/article/a-table/bien-manger/femmes-enceintes/2018/08/14/10-aliments-a-bannir-pendant-grossesse/
J’ai bien compris… mais concrètement, enceinte, je mange quoi ?
Pas de panique ! Derrière ces termes barbares se cachent toutes vos habitudes alimentaires. LQDP décode et vous propose une journée type :
- 2 portions de viande (ou charcuteries cuites), de poisson ou d’œufs bien cuits :
un steak cuit à cœur, deux tranches de jambon blanc, de la mortadelle, une portion de poisson en papillotte, deux oeufs … Ces aliments riches en protéines et en fer permettent à l’organisme de constituer et maintenir la masse musculaire et osseuse, tout en favorisant les défenses immunitaires et la production de globules rouges.
- 3 portions de fruits et 2 portions de légumes soigneusement lavés, et pelés s’ils ne sont pas bio :
du chou (blanc, rouge, vert, de Bruxelles, …), une orange, des épinards, des asperges, … Ces aliments sont sources de fibres, de vitamines, de minéraux, d’antioxydants, d’eau et de fibres : un cocktail détonnant pour vous et votre bébé ! D'autant plus que la vitamine C qu'ils contiennent aide votre organisme à fixer le fer de la viande, du poisson et des oeufs.
- 4 à 6 portions de produits céréaliers :
deux morceaux de pain et deux à trois portions de céréales (épeautre, riz, quinoa) ou légumineuses (lentilles, pois, haricots …). Ces aliments sont riches en glucides complexes, en vitamines B et en fibres. Ils vous garantissent de ne plus avoir faim après votre repas, diminuent votre taux de cholestérol sanguin et vous garantissent un bon transit. Alors pourquoi s’en priver ?
- 3 à 4 portions de produits laitiers au lait pasteurisé :
une portion de fromage (emmental, fromage fondu..), un à trois yaourts ou fromage blanc. Ces aliments sont riches en bonne bactéries, en calcium et en vitamine D : ils vous assurent un confort intestinal et garantissent une bonne densité osseuse. Lisez bien les étiquettes et faites-vous plaisir, vos os et ceux de votre bébé vous remercieront !
- 3 à 4 portions de matières grasses :
une cuillère à soupe d’huile, une noisette de beurre, une poignée d’oléagineux (amandes, noisettes …). Ces aliments sont riches en lipides, qui font partie intégrante de l’organisme (peau, cerveau, muscles …). Ces aliments sont vos amis, pour favoriser le développement cellulaire de votre bébé, et pour éviter ou diminuer l’apparition de vergetures.
- 1,5 à 3 litres d’eau :
la seule boisson nécessaire à votre organisme et à celui de votre bébé. Si besoin, vous pouvez ajouter une rondelle de citron bio, ou boire des tisanes. L’eau est le composant principal de vos cellules et des liquides de votre organisme (sang, lymphe …). Elle vous permet également d'avoir un bon transit et de réguler votre température.
Vous l’aurez compris, inutile de manger pour deux quand on est enceinte. Il s’agit seulement d’adapter les quantités de certains groupes d’aliments, afin de ne pas vous carencer lorsque votre bébé a besoin de nutriments. Un seul mot d’ordre : variez les plaisirs !D’après le « Livret d’accompagnement du Guide nutrition pendant et après la grossesse » édité par l’Inpes.
Contenu relu et validé par une diététicienne WeCook.
L’allergie alimentaire aux fruits rouges est relativement rare. Certaines protéines de ces fruits permettent la libération d’histamine qui engendre l’allergie. Cette dernière concerne différents fruits rouges tels que :
- la fraise,
- la framboise,
- la mûre,
- la cerise,
- le cassis,
- la groseille,
- la myrtille,
- etc.
Symptômes de l'allergie alimentaire aux fruits rouges
Les symptômes de l’allergie se manifestent rapidement sous différentes formes, principalement cutanées, comme l’urticaire ou l’eczéma, et respiratoires, notamment l’asthme, la rhinite, etc. Les signes peuvent également être gastro-intestinaux tels que nausée, vomissements, diarrhée ou encore, bien plus grave, un choc anaphylactique.Diagnostiquer une allergie alimentaire aux fruits rouges
Lorsque l’on souffre d’une allergie, il est nécessaire de consulter un allergologue qui fera un test de dépistage cutané et/ou un test sanguin :- Le prick-test : dépôt de gouttes de différents extraits allergéniques sur l'avant-bras ou le dos et prélèvement de l’épiderme au travers de ces gouttes. Détermination de l'hypersensibilité immédiate.
- Le patch-test : dispositif de mise en contact de l’allergène avec la peau sous un pansement occlusif durant 24 à 72 h en fonction de l’allergène.
- Le test sanguin : détection d’anticorps impliqués dans la réaction immunitaire, les immunoglobulines E (IgE).
Comment s'alimenter en cas d'allergie aux fruits rouges?
Les allergiques aux fruits rouges doivent éviter dans leur alimentation l’allergène responsable, c’est-à-dire tous les aliments énumérés ci-dessus. Un changement de régime alimentaire est nécessaire. Il faut donc éliminer les préparations alimentaires industrielles contenant ces aliments tels que les jus de fruits, les plats cuisinés, les pâtisseries, les glaces, les laitages, mais également certains médicaments et cosmétiques, etc. N’oubliez pas de vérifier la liste d’ingrédients sur les emballages alimentaires ! L’aide d’un diététicien peut être essentielle pour obtenir un régime d’exclusion ou trouver des aliments de substitution.Contenu relu et validé par une diététicienne WeCook.
Apportés par les lipides, les acides gras sont des nutriments indispensables à l’homme au même titre que les vitamines. L’homme n’étant pas en mesure de les fabriquer, ces acides gras essentiels (AGE) sont fournis par l’alimentation. Il est donc important de veiller à la qualité de ces corps gras ! LQDP vous propose un panorama des principales huiles alimentaires végétales en 10 épisodes.
Episode n°2 - L’HUILE de COLZA, l’huile riche en bons omégas
Cette huile a toute sa place dans notre alimentation, et devrait être apportée quotidiennement.3 raisons de consommer de l’huile de colza ?
Son profil en acide gras est intéressant : elle contient des acides gras saturés (moins de 6%), est riche en acides gras mono-insaturés (plus de 60%, avec notamment l’acide oléique), et a plus de 30% d’acides gras poly-insaturés (avec environ 1 part d’omégas 3 pour 2 parts d’omégas 6). Ce ration de 2 permet de se rapprocher du ratio recommandée, à savoir un ratio de 5. Elle est riche en vitamine E, un antioxydant (45 mg en moyenne pour 100 g) Enfin, elle contient des stérols (qui limitent l’absorption du cholestérol).Du fait de sa composition, l’huile de colza présente des vertus intéressantes pour notre santé. Rares sont les huiles apportant des omégas 3 : ceux-ci sont pourtant indispensable pour notre organisme, avec des bienfaits sur le système coronarien et sur le système nerveux. Ils jouent également un rôle contre la dépression, la maladie d’Alzheimer et autres démences. Sa richesse en antioxydant permet de lutter contre les maladies telles que maladies cardio-vasculaires, les cancers, le diabète, les maladies neurodégénératives, l'inflammation et le vieillissement. Des études montrent qu’un régime type méditerranéen associé à une matière grasse à base de colza diminue la mortalité liée aux maladies cardiovasculaires.
Du fait de sa richesse en acide oléique, elle a un effet hypocholestérolémiant : elle permet en effet de diminuer le taux de cholestérol dans le sang, ce qui explique en partie son effet contre les maladies cardio-vasculaires.
Elle lutte contre le vieillissement.
Elle diminue la pression artérielle.
Elle hydrate votre peau.
Comment conserver l’huile de colza ?
C’est une huile riche en acides gras polyinsaturés : elle est donc fragile.Une fois ouverte : - Conservez-la dans une matière inerte et imperméable à l’huile - Veillez à la conserver à l’abri de l’air et de la lumière - Mettez-la dans votre réfrigérateur, pour préserver ses qualités nutritionnelles
Comment utiliser l’huile de colza ?
Cette huile est fragile à la cuisson : de fortes températures la dénaturent et elle perd alors toutes ses qualités nutritionnelles. Evitez la cuisson de plus de 120°C. L’idéal est de privilégier cette huile sous forme crue, pour les assaisonnements. Associez-la avec une autre huile comme l’huile d’olive. Par exemple, pour les assaisonnements, faites 2 cuillères à soupes d’huile d’olive et 2 cuillères à soupe d’huile de colza sur une journée. Préférez l’huile de colza vierge à l’huile raffinée : ses qualités gustatives et nutritionnelles seront préservés.En savoir plus sur l’huile de colza
Le colza est une plante oléagineuse appartenant à la famille des crucifères. Elle est issue de l'hybridation d'une variété de choux (Brassica oleracea) et de la navette (Brassica campestris). Les fruits renferment de petites graines de couleur foncée (brun ou noir). Ils sont particulièrement riches en huile (45%). Après broyage et pressage, on obtient une huile de couleur ambre. Pour obtenir un rendement plus important, une extraction peut être ensuite réalisée. Une filtration permet enfin d’enlever les impuretés. L’huile de colza est utilisée à des fins alimentaires, mais peut avoir une utilité comme carburant. Le raffinage de l’huile permet d’éliminer des composés toxiques (pesticides par exemple) et de standardiser l’huile (en terme de goût par exemple). Mais ceci va dénaturer l’huile (altération de la vitamine E, dégradation des acides gras poly-insaturés, formation de nouveaux composés), et elle perdra ses atouts nutritionnels.Contenu relu et validé par une diététicienne WeCook.
Apportés par les lipides, les acides gras sont des nutriments indispensables à l’homme au même titre que les vitamines. L’homme n’étant pas en mesure de les fabriquer, ces acides gras essentiels (AGE) sont fournis par l’alimentation. Il est donc important de veiller à la qualité de ces corps gras ! Zoom sur h'huile d'olive, la championne en acide oléique.
4 raisons de consommer de l’ huile d’olive
- Cette huile est particulièrement riche en acide oléique, un acide gras mono-insaturé (56 à 84 % des acides gras de l'huile d'olive) ; tandis que l'acide linoléique (acide gras polyinsaturé de la famille des omégas 6) représente 3 à 21 %.
- Elle est également riche en composés phénoliques et en autres antioxydants : carotènes, composés phénoliques.
- Elle contient des vitamines : vitamine E (12 mg en moyenne pour 100 g)
- Enfin, elle contient des stérols. Cette composition la distingue de toutes les autres huiles.
9 bienfaits incontestables de l’huile d’olive
- Sa richesse en antioxydant permet de lutter contre les maladies telles que maladies cardio-vasculaires, les cancers, le diabète, les maladies neurodégénératives, l'inflammation et le vieillissement. Le fameux régime « méditerranéen » connu à travers le monde repose en partie sur l’utilisation de cette huile aux vertus protectrices.
- Elle a un effet hypocholestérolémiant : elle permet en effet de diminuer le taux de cholestérol dans le sang, ce qui explique son effet contre les maladies cardio-vasculaires.
- Elle lutte contre le vieillissement.
- Véritable coupe-faim reconnu, elle aide à faire perdre du poids.
- Elle a des effets laxatifs : utile en cas de constipation !
- C’est un antidouleur : il est bien connu que les aliments ont des vertus médicamenteuses, et l’huile d’olive n’y déroge pas : elle aurait en effet une action anti-inflammatoire du fait de la présence d’un composé (l’oléocanthal) et réduirait les douleurs liées aux articulations et aux muscles.
- Fortifiant le système immunitaire, elle aide votre organisme à lutter contre les virus, les attaques microbiennes.
- Elle diminue la pression artérielle.
- Elle hydrate votre peau.
3 conseils pour conserver l’huile d’olive
Cette huile se conserve longtemps : plusieurs mois en général. Voici quelques conseils pour mieux la conserver et éviter un rancissement ou des modifications d’odeur : - Conservez dans une matière inerte et imperméable à l’huile - Veillez à la conserver à l’abri de l’air, de la lumière - Evitez les variations de températures. Idéalement, la conservation se fait entre 12 et 18°C.Comment utiliser l’huile d’olive ?
Cette huile résiste bien à la cuisson : elle peut être chauffée au-delà de 200°C. Vous pouvez donc l’utiliser au fond d’une poêle pour éviter que les aliments « accrochent ». Mais elle est surtout très utilisée pour les assaisonnements. Seule ou accompagnée, sa saveur particulière est souvent appréciée !https://le-quotidien-du-patient.fr/article/a-table/bien-manger/aliments/2015/05/05/l-amande-bienfaits-valeurs-nutritionnelles/
En savoir plus sur l’huile d’olive
L’olivier est un arbre caractéristique du bassin méditerranéen. Son fruit, l’olive, est un fruit gras (30 à 60 % de matière grasse en moyenne) utilisé pour la fabrication de l’huile d’olive et doté d’une richesse en nutriments et polyphénols.L’huile d’olive est obtenue après extraction de l’huile de l’olive. Cette extraction consiste en un broyage puis une pression du fruit. La teneur en huile varie en fonction du terroir, de la variété, du stade de maturité à la récolte et des pratiques agronomiques locales. On distingue par la suite les huiles vierges, qui n’ont subi que peu de traitements thermiques et mécaniques, ce qui limite l’altération du produit. Les huiles obtenues sont troubles, colorées et odorantes, mais conserve des valeurs nutritionnelles très intéressantes. La différence entre les huiles vierges et extra vierges tient au degré d’acidité de l’huile.
Mais dès lors que l’on standardise les huiles, on obtient une huile raffinée. Ceci nécessite des traitements supplémentaires : brassage avec de l’eau acidulée, centrifugation, lavage, chauffage au-delà de 90°C. On obtient alors une huile standardisée au niveau de la couleur, du goût et de l’odeur.
Contenu relu et validé par une diététicienne WeCook.
Apportés par les lipides, les acides gras sont des nutriments indispensables à l’homme au même titre que les vitamines. L’homme n’étant pas en mesure de les fabriquer, ces acides gras essentiels (AGE) sont fournis par l’alimentation. Il est donc important de veiller à la qualité de ces corps gras ! Elle vous propose un panorama des principales huiles alimentaires végétales en 10 épisodes.
Episode n°3
L’HUILE de PALME, une huile controversée
Cette huile fait souvent débat. C’est une huile dite « concrète », c’est-à-dire solide à température ambiant. Alors, faut-il la consommer ou pas ?
De quoi se compose l’huile de palme ?
Elle contient une part importante d’acides gras saturés (50%), notamment l’acide palmitique. Elle contient également des acides gras mono-insaturés (43% environ dont 40% d’acide oléique) Elle est source de vitamine E, un antioxydant (15 mg en moyenne pour 100 g) Enfin, elle contient des stérols, des composés phénoliques ainsi que des caraténoïdes (500 à 2000 mg pour 100g) qui lui donnent une couleur rouge bien prononcée.Du fait de sa composition, l’huile de palme n’est pas un aliment recommandé par les nutritionnistes. Pourquoi ?
Même si elle contient des acides gras mono-insaturés bons pour l’organisme, la quantité d’acide palmitique qu’elle contient augmente le « mauvais cholestérol, à savoir les LDL-cholestérol. Cela en fait un produit néfaste pour notre santé cardio-vasculaire. L’ANSES recommande de limiter l’apport en acides gras saturés à 12% par jour maximum (soit 27 g pour 2000 calories journaliers), dont 8% pour les acides gras les plus cholestérolémiants (incluant l’acide palmitique). Un excès d’acides gras saturés aurait un effet pro-inflammatoire Les acides gras saturés diminueraient l’insulino-sensibilité, ce qui favorise le diabète.Mais pourquoi cette huile est utilisée par les industriels ?
Dans l’industrie agro-alimentaire, certains procédés techniques sont autorisés comme l’hydrogénation de la matière grasse. Cette technique permet de durcir une huile en transformant les acides gras insaturés en acides gras saturés (par ajour d’une molécule d’hydrogène). Mais une hydrogénation partielle s’accompagne de la formation plus ou moins importante d’acides gras trans. Ceux-ci sont associés à un niveau très élevé à des risques d’accidents cardio-vasculaires, et sont à éviter. L’huile de palme a donc été plus utilisée pour son aspect malléable, sa facilité d’utilisation, sa résistance à l’oxydation et éviter la formation d’acides gras trans à partir d’autres huiles végétales.Comment conserver l’huile de palme ?
Cette graisse végétale peut être conservée au sec, à l'abri de la chaleur et de la lumière. Au réfrigérateur, elle se durcira.Comment utiliser l’huile de palme?
L’huile de palme est plus utilisée par les industriels que par un particulier. Ses atouts en industries agro-alimentaires sont : - Sa fonction texturante (sansation de fondant par exemple) - Sa résistance à l’oxydation - Sa résistance aux hautes températures - Sa facilité d’utilisation - Sa saveur appréciée - Son caractère non allergisant - Son faible coûtEn savoir plus sur l’huile de palme
L’huile de palme est une matière grasse végétale extraite du palmier à huile. Cet arbre est cultivé dans les zones tropicales humides, notamment en Indonésie et Malaisie. Ses coûts de production sont faibles. L’huile de palme est fabriquée avec les mêmes procédés que les autres huiles : broyage, pressage, filtration.La fabrication crée la polémique : la Table ronde pour une huile de palme durable (RSPO) née en 2004 a évoqué qu’en l’espace de 20 ans (entre entre 1990 et 2010) , 8,7 millions hectares de forêt au profit des cultures de palmiers à huile. Cette déforestation excessive pose problème : D’un point de vue social : les fumées des feux de déforestation empêchent les avions d’atterrir à Bornéo, faute de visibilité. D’une point de vue écologique : la destruction de l’habitat et des ressources de l’orang-outan et les gibbo. Ces espèces symboliques sont menacéee d’extinction. Une augmentation des rejets de gaz à effet de serre Actuellement, la RSPO permet à des entreprises d’obtenir des certifications (CSPO) répondant à différents critères de développement durable. La RSPO associe des producteurs, des distributeurs, des commerçants, des investisseurs et des ONG. L’objectif de cette institutions est de réaliser des normes mondiales pour la production d’une huile de palme durable.
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