
La Caisse nationale de l’Assurance Maladie réalise chaque année depuis 2012 une analyse médicalisée des dépenses et des pathologies de 57,6 millions de Français bénéficiaires du régime général, soit 9 assurés sur 10, à partir des données issues du Système national des données de santé (SNDS). Les résultats de cette analyse permettent de connaître non seulement l’état de santé des Français et conséquemment le niveau des dépenses de santé. Trois postes pèsent particulièrement sur ces dépenses, le vieillissement de la population et ses conséquences, le cancer et enfin les troubles mentaux. Zoom sur les résultats de l’année 2017 et sur les évolutions 2012-2017.
Une analyse médicalisée des dépenses et pathologies permet de répondre à des questions fines telles que, « pour telle pathologie, quel est le nombre de patients traités ? Quelles sont les dépenses associées à la prise en charge de ces patients ? Quels types de soins sont mobilisés ? ». Les résultats montrent sans surprise « des tendances durables, comme le nombre croissant de malades chroniques (+ 1,2 million) ou le poids financier des innovations thérapeutiques, comme celui lié aux nouveaux traitements du cancer du poumon ou du diabète ». Mais ils montrent aussi l’évolution de la prise en charge et notamment pour le développement des traitements à domicile, comme la chimiothérapie orale.
Les dépenses de santé des Français liées au vieillissement et aux cancers
Cependant ces résultats montrent aussi que malgré les progrès de la médecine, les dépenses de santé par habitant et par an augmentent. Première cause, le vieillissement de la population. Les dépenses pour les hospitalisations ponctuelles sont en tête et en augmentation constante. Celles-ci sont dues notamment à certains examens comme la coloscopie mais aussi à de la chirurgie prothétique (hanche, genou, etc.) et réfractive du cristallin (cataracte).Vient ensuite, l’augmentation de l’incidence du cancer. En 2000, l’incidence estimée de l’ensemble des cancers tout sexe était de 278 175 personnes ; en 2010 il est de 343 965 personnes et en 2018, la fondation Arc estime que 382 000 nouveaux cas de cancers seront déclarés. Cette augmentation est due à plusieurs facteurs : - l’obésité ; - l’environnement (pollution, perturbateurs endocriniens, etc.) ; - le mode de vie (sédentarité, addiction, etc.) ; - le surdiagnostic, qui fait augmenter considérablement les chiffres (certaines tumeurs sont détectées très tôt et sont considérées cancéreuses alors qu’elles ne sont que bénignes).
https://le-quotidien-du-patient.fr/article/tous-pour-un/2018/10/30/la-sedentarite/
La confirmation des maladies mentales et leur coût
Un Français sur trois souffrira de troubles mentaux à un moment de sa vie. Selon l’analyse de l’année 2017, les dépenses de santé liées aux maladies psychiatriques ou à la prise de psychotropes s’élèvent à 20,3 milliards d’euros et affecte 219 0000 personnes en France. Au niveau des dépenses totales, les troubles mentaux viennent donc en 2e position avant les cancers. Cette place et l’évolution du nombre de malades n’est pas vraiment expliquée.Remarquons que la dernière et cinquième édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux de l'Association Américaine de Psychiatrie, qui sert de base pour le diagnostic des troubles mentaux, considère certains troubles comme des dépressions. Par exemple, le chagrin suite à un deuil est désormais assimilable à la dépression. On comprend ainsi mieux que les chiffres puissent être gonflés. De plus, les personnes qui ont le plus de risque de souffrir d’un état dépressif caractérisé et ayant fait appel à un professionnel de santé sont souvent victimes du chômage, vivent seules ou ont été victimes de violence. Le niveau de vie ou de diplôme n’ont aucune incidence sur les troubles mentaux.
https://le-quotidien-du-patient.fr/article/tous-pour-un/2018/10/22/securite-sociale-sante-francais/
Sources
- Ameli.fr, - Institut National du Cancer, - DREES, - Fondation ARC pour la recherche contre le cancer, - L'Obs.La cigarette tue. Il suffit de regarder un paquet de cigarette pour se rendre compte des effets toxiques du tabac sur la santé. Mais l’obésité tue, l'obésité causerait plus de cancers que la cigarette ! Peut-être verra-t-on fleurir des images de foie malade ou de cœur abîmé sur les paquets de chips ou de glaces bientôt. Mais ce qui est sûr, c’est que l’obésité serait impliquée dans les cancers du foie, des ovaires, des reins et des intestins. Décryptage.
Tabac ou obésité : qu'est-ce qui provoque le plus de cancers ?
C’est une étude anglaise qui souligne que l'obésité serait en cause dans davantage de cancers. En effet, elle montre que l’obésité cause 1 900 cas supplémentaires de cancer de l'intestin par rapport au tabac, chaque année. Et c’est également le cas pour le cancer des reins (1 400 cas supplémentaires liés à l’obésité par rapport au tabac), pour le cancer des ovaires (460 cas supplémentaires) et le cancer du foie (180 cas supplémentaires). Des résultats inquiétants donc. Le tabac cède donc sa « pole position » à l’obésité face au cancer. Des résultats qui devraient nous faire tous réfléchir et devraient nous faire prendre conscience de notre hygiène de vie. Et si les campagnes nationales ont permis de diminuer le tabac, de nouvelles compagnes au niveau national pourraient être lancées pour montrer l’effet dévastateur de l’obésité.Des résultats transposables pour la France
Malheureusement, ce qui se passe chez les Anglais est transposable chez nous. Même si ces chiffres n’atteignent pas encore ceux du tabac, ils ne laissent rien présager de bon. En France, on estime que 18 000 cas de cancers chaque année sont attribuables à l’obésité, alors que le tabac cause 44 000 décès tous les ans. Par ailleurs, l’obésité est liée à 13 types de cancers, alors que le tabac est responsable de 17 types de cancers. Mais pourquoi ces chiffres sont-ils si inquiétants ? Car le nombre de fumeurs diminue régulièrement en France, tandis que le nombre de personnes en surpoids ou obésité augmente de plus en plus.https://le-quotidien-du-patient.fr/article/demain/medecine/cancers/2019/02/17/cancers-lies-a-lobesite-explosent-chez-les-moins-de-50-ans/
Obésité et cancer : quels mécanismes ?
Le lien entre cancer et obésité est évident. Mais les mécanismes restent incertains. Plusieurs hypothèses sont avancées, et en réalité, c’est peut-être l’addition de plusieurs mécanismes mis en jeu qui expliquerait ce lien.L’un des mécanismes est lié aux hormones. L’excès de cellules adipeuses produirait un surplus d’hormones notamment l’insuline-like growth factor (IGF-1) et aurait un impact sur le développement et la croissance des cellules, provoquant des risques accrus de mutations génétiques. Un état inflammatoire lié à l’obésité est également une prédisposition à la cancérogenèse.
Enfin, l’obésité est souvent liée à une mauvaise alimentation, avec un déséquilibre en apport en nutriments : excès de sucres et de lipides, et apports pauvres en vitamines et anti-oxydants. L’excès de sucres est associé à un risque de diabète, lui-même pouvant être impliqué dans la cancérogenèse. Quant à l’excès de lipides, et de lipides de mauvaise qualité, ils apportent un surplus de radicaux libres pouvant être impliqués dans des mutations, et donc impliqués également dans la cancérogenèse.
Que faire alors ?
Malheureusement, il n’y a pas un nombre infini de solutions. Face à l’obésité, une perte de poids est recommandée, avec notamment une diminution des apports caloriques. Parallèlement à cette diminution des apports caloriques, il est recommandé de pratiquer une activité physique quotidienne, même légère. Et n’hésitez pas à vous faire aider par des professionnels de santé. La perte de poids s’inscrit dans le long terme en général, et ne pas perdre sa motivation reste indispensable pour tenir le cap.https://le-quotidien-du-patient.fr/article/demain/medecine/cancers/2019/01/14/4-cancers-sur-10-pourraient-etre-evites/
Sources
- "Obese people outnumber smokers two to one", Cancer Research UK, 2019, - Science Daily, - "Obésité et cancer", J.L. Schlienger, La revue de médecine interne, 2009, Vol. 30, p. 776-782, - Medisite.L’automédication est une pratique courante qui consiste à « utiliser, hors prescription médicale, des médicaments ayant reçu l’autorisation de mise sur le marché » précise le conseil national de l'Ordre des médecins. L’Association française de l’industrie pharmaceutique pour une automédication responsable (AFIPA) vient de publier les résultats d’un sondage sur l’automédication et plus précisément sur ce qu’en pensent les Français. Mais prendre un médicament sans ordonnance n’est pas simplement un geste courant, c’est aussi un véritable enjeu économique suivi de près par les professionnels du médicament.
8 Français sur 10 font appel à l'automédication
En 2018, 80% des Français ont eu recours à l’automédication. Cette pratique est très encadrée en France car tous les médicaments ne sont pas en vente libre. Selon France assos-santé, il existe en France, trois grandes catégories de médicaments. Tout d’abord, « les médicaments à prescription médicale obligatoire (PMO) qui ne peuvent être délivrés que sur présentation d’une ordonnance rédigée par un professionnel de santé » ; puis ceux « à prescription médicale facultative (PMF) que l’on peut obtenir sans ordonnance (mais qu’un professionnel de santé peut prescrire tout de même) » et enfin « les produits en vente libre (qui peuvent notamment avoir subi une mesure de déremboursement par la Sécurité sociale) ». L’automédication concerne les deux dernières catégories.Des raisons pragmatiques à l'automédication
Ce sont plus les femmes (85%) que les hommes (75%) qui achètent des produits d’automédication et la majorité le font en hiver (79%). Si les femmes sont de grosses consommatrices de médicaments, c’est parce qu’elles achèteraient plus de vitamines, minéraux et d’autres produits pour le métabolisme (perte de poids, etc.) que les hommes.Face à certaines pathologies, l’automédication peut s’avérer très utile. En effet, il est parfois inutile d’aller chez un médecin contre certains maux considérés comme bénins. C’est pourquoi, les médicaments achetés sans prescription sont souvent contre les maux de tête (46%), l’état grippal (51%) et les maux de gorge (41%). A l’apparition des premiers symptômes, le patient va souvent voir un pharmacien ce qui évite une consultation chez le médecin, supposant des coûts (43% considèrent que cela est utile pour réduire les dépenses publiques de santé) et une perte de temps (51 % des Français estiment que cela leur permet de gagner du temps). C’est pourquoi, « 59% des Français font confiance aux conseils de leur pharmacien pour choisir le médicament qui convient le mieux à leur situation ». De plus, 57 % des sondés estiment que ces produits sont efficaces.
Ces chiffres montrent bien que, face à certaines pathologies, les Français se montrent autant raisonnables que pragmatiques. Ils y recourent essentiellement dans des cas de problèmes de santé bénins (46 %) ou connus (44%) et surtout au début (43 %). De plus, cette pratique leur permet de ne pas arrêter leurs activités quotidiennes.
https://le-quotidien-du-patient.fr/article/tous-pour-un/2018/01/23/oui-les-seniors-consomment-trop-de-medicaments/
De la nécessité d'insister sur l’éducation du patient
L’automédication est une façon de reprendre sa santé en mains pour beaucoup de patients. Certains se tournent vers les médecines alternatives d’autres restent fidèles aux médicaments classiques. Dans tous les cas, l’information et l’éducation des patients sont fondamentales. L’entourage est très important dans l’automédication (63 %) et 43 % se servent des sites spécialisés. Ce sondage montre bien que les patients doivent être informés, conseillés par les professionnels de santé, leur permettant de se soigner de façon responsable et surtout « éclairée ».Un marché de poids
Les résultats de ce sondage sont intéressants surtout si on regarde le chiffre d’affaires que représente l’automédication pour les pharmacies. En 2017, ce chiffre d’affaires était de 3,9 milliards d’euros. Les médicaments les plus demandés sont les antigrippaux (24 millions de chiffres d’affaires en 2018), viennent ensuite à égalité les antalgiques et les produits pour le pharynx (17 millions de chiffres d’affaire). Cependant, l’automédication connaît un ralentissement certain. L’épisode de la grippe de l’hiver a été moins rigoureux, de plus depuis juillet 2017, tous médicaments contenant de la codéine ou des dérivés d’opium et de morphine ne sont plus en vente libre. Ce qui rajoute au manque à gagner.https://le-quotidien-du-patient.fr/article/tous-pour-un/2018/04/10/mauvais-usage-medicaments-comment-y-remedier/
Sources
- Conseil national de l'Ordre des médecins, - France Assos Santé, - AFIPA, - IQVIA, - ANSM.Une étude menée par une équipe française à partir de la cohorte française CONSTANCES a étudié l'association entre risque d'AVC et exposition à un temps de travail prolongé, soit plus de 10 heures par jour au moins 50 jours par an. Et leurs constats font froid dans le dos... Explications.
Association entre risque d'AVC et exposition à un temps de travail prolongé
Une étude menée conjointement par une équipe française de l’hôpital Raymond-Poincaré AP-HP, de l’Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, de l’Université Paris-Saclay et de l’Inserm, en collaboration avec des équipes américaines, européennes et japonaises a étudié l'association entre le temps de travail prolongé et le risque de survenue de maladies cardio-vasculaires ou d'accidents vasculaires cérébraux. Pour ce faire, l'équipe de recherche s'est servie des données de la cohorte CONSTANCES, basée sur l'âge, le sexe, le temps de travail et le tabagisme. Ces données ont été complétées par un entretien médical afin d'identifier d'autres facteurs de risques cardiovasculaires et d'éventuels précédents accidents vasculaires cérébraux (AVC).Un modèle statistique a permis à l'équipe de chercheurs d'évaluer l'association entre un temps de travail prolongé (plus de 10 h/jour et 50 j/an) selon trois critères : l'âge, le sexe et le type de travail. Ce sont donc plus de 140 000 patients qui ont été inclus à l'étude, dont 0.9% ont signalé un AVC, 29.6% un temps de travail prolongé et 10.1% un temps de travail prolongé sur plus d'une décennie. Après avoir croisé lesdites données, l'équipe a signalé qu'un temps de travail prolongé augmentait de 29% le risque de survenue d'AVC chez des personnes au temps de travail prolongé par rapport à celles travaillant moins, les auteurs de l'étude soulignant "une association significative entre risque de survenue d’AVC et temps de travail prolongé sur une période égale ou supérieure à dix ans."
Entre prudence et méfiance
Si cette étude observationnelle ne permet pas de conclure à un lien de causalité, les chercheurs mettent néanmoins en exergue l'association significative entre risque de survenue d'AVC et un temps de travail trop conséquent sur une trop longue durée. Le Pr Alexis Descatha, co-auteur de l'étude et spécialiste des pathologies liées au travail à l’hôpital Raymond-Poincaré AP-HP, suggère plusieurs hypothèses : « Travailler de manière prolongée a un effet direct sur le système cardiovasculaire. Certaines conditions de travail ainsi que le stress affectent la coagulation et le rythme cardiaque, explique le praticien. D’un point de vue indirect, cela modifie certains comportements. La consommation tabagique augmente, l’alimentation est déséquilibrée et l’activité physique réduite. »L'Inserm souligne d'ailleurs que ces conclusions vont dans le même sens qu'une méta-analyse publiée en 2015. Des études complémentaires sont nécessaires, affaire à suivre donc.
https://le-quotidien-du-patient.fr/invite/2019/06/21/agir-sur-les-facteurs-de-risques-cardio-vasculaires-rencontre-avec-le-dr-steiner/
Sources
- Inserm, communiqué de presse, - Cohorte CONSTANCES, - The Lancet, - Le Quotidien du Médecin.Une bonne alimentation est la première recommandation pour contrer ou même prévenir le diabète. Mais en plus d’une alimentation équilibrée, des supplémentations en zinc pourraient aider à contrôler ou même prévenir le diabète.
Le zinc, un oligo-élément essentiel bénéfique chez la personne diabétique
Une supplémentation en zinc pourrait intervenir à différents niveaux : - Une diminution de la glycémie à jeun chez les personnes atteintes de diabète de type 2, - Une diminution de la glycémie post-prandiale, 2 heures après le repas, - Une diminution du taux d’insuline à jeun, - Une diminution du taux d’hémoglobine glyquée, - Une diminution d’un marqueur de l’inflammation lié au diabète, la protéine C réactive.Ces conclusions sont le fruit d’une synthèse de 32 études portant sur l’effet d’une supplémentation en zinc chez les personnes atteintes de diabète, réunissant au final 1 700 sujets dans 14 pays. Et cet effet sur la diminution des indicateurs liés au diabète de type 2 est réellement spécifique chez le sujet malade, et non chez le sujet sain.
Et les résultats vont même plus loin. La nature du zinc présent dans la supplémentation a un impact : le zinc inorganique est beaucoup plus efficace que la forme organique. Enfin, la quantité a elle aussi un impact sur l’efficacité de la supplémentation : des doses à 30 mg/jour de zinc montrent une réelle efficacité.
Attention toutefois : en 2015, une méta-analyse était quant à elle réservée sur l’effet bénéfique du zinc sur le diabète. Des résultats à confirmer donc par de nouvelles études expérimentales.
https://le-quotidien-du-patient.fr/article/demain/medecine/maladies-chroniques/2019/06/09/prevenir-le-diabete-de-type-2/
Dans l’alimentation, où se trouve le zinc ?
Le zinc se retrouve essentiellement dans les produits d’origine animale : viande, poisson, abats, fromages, œufs. On en trouve également dans des produits d’origine végétale, comme les céréales entières, le germe de blé, les graines oléagineuses.Ces oligo-éléments qui nous veulent du bien
L’alimentation nous offre une quantité considérable de vitamines ou de sels minéraux, avec divers rôles intéressants pour l’organisme. Et certains de ces petits éléments jouent un rôle dans la protection contre le diabète : - La vitamine C : une supplémentation en vitamine C jouerait un rôle dans la régulation de la glycémie et de l’insuline. Consommez donc quelques fruits et surtout des légumes sous leur forme crue. - Le magnésium : une carence en cet élément augmenterait le risque de complications chez le diabétique. Consommez des céréales au son, graines oléagineuses, cacao, mollusque, aliments complets. - La vitamine E : cet anti-oxydant serait également protecteur vis-à-vis du diabète. Consommez des corps gras comme des huiles, des graines oléagineuses, des poissons gras notamment. - Le chrome : sel minéral peu connu, il rend les cellules moins résistantes à l’insuline. Épices, noix, champignon, céréales complètes et levure de bière sont d’excellentes sources de chrome. - Le sélénium : lui aussi permet une régulation de la glycémie. Il se trouve dans les aliments d’origine animale (viandes, poissons, œufs, poissons, lait et fromages). On en trouve également dans les céréales complètes et les eaux minérales.https://le-quotidien-du-patient.fr/article/a-table/bien-manger/aliments/2018/11/22/mineraux/
Sources
- The American Journal of Clinical Nutrition, - The Cochrane collaboration, - La Nutrition, - Nutrition du bien portant, Emilie Frédot, Editions Tec et Doc, Lavoisier, 2007, - La Nutrition.Page 18 sur 214